« Moins il y a de doute dans les expressions, moins il y a débat, plus la démocratie s’atrophie »
C’est un peu le contraire : exemple : depuis 2012, on ne nage pas, on est noyé, dans les doutes. Beaucoup de mesures gouvernementales sont prises en quatre temps, une annonce par un ministre, une démentit par un autre, un arbitrage par le premier, dénoncé par le président. Pour les interventions ou pas en Syrie, c’est un peu pareil avec Obama en plus dans le circuit.
« exprimer leurs doutes, leurs questionnements, leurs convictions avec fermeté mais humilité »
On croirait entendre hollande lui même...exprimer ses doutes avec fermeté et conviction...Il faut bien comprendre que c’est de l’artifice de langage.....Il a affirmé sans aucun doute que la finance était son ennemi, puis que non, mais de toute façon ses actes n’illustrent ni ses convictions, ni ses doutes, ni même un questionnement....On a une « praxis ». Il tape dans la caisse pour arroser ses troupes, jusqu’au moment ou cela menace de casser..., mesures pour redonner aux entreprises un peu de LEUR argent, mesures pour rectifier les erreurs de tir qui ont contraint son électorat à payer l’impôt sur le revenu ( horreur !). Il est sain que face à cela, il y a ait une offre politique inverse. Quelqu’un qui propose, si vous me donnez mandat, je prendrai des décisions.
Se rapprocher du FdG serait un populisme....Ben voyons...alors le référendum de Camba est un populisme ? Ou bien c’est celui des écolos, demandant à ce que hollande sorte du doute pour leur donner une certitude populiste...est il à gauche, ou pas.... !
« Vous essayez de faire croire qu’on peut sortir de la crise sans efforts, vous mentez »
Ben , on a pas fait beaucoup d’effort d’austérité, c’est à dire de limitation des dépenses de l’État, et de fait nos somme les seuls en Europe à ne pas sortir de la crise. Sarko à vous suivre, fût plus prophétique qu’autoritaire...
Ni la justice, ni les syndicats, ni les administrations n’ont vocation à s’imposer au pouvoir politique désigné par le peuple. Cela c’est un rêve de bureaucrates technocrates étatisés socialistes.
C’est pour cela qu’ils ont choisit Hollande en leur sein. Pendant qu’il « doute », qu’il « dialogue », qu’il « moyenne » qu’il « compromise », eux décident et se partagent notre argent en dehors de toute consultation politique démocratique au nom de leurs compétence auto proclammée et de leur refus de toute autre autorité que la leur.
Tous cela est en réalité légitime en démocratie. Maintenant, les électeurs vont trancher.....
Beaucoup d’éléments portent à croire que cela va être pas mal « populaire populiste autoritaire », et sauf accident industriel, Sarkoziste en majorité suivi par le FN. Bref, une France rejetant très très majoritairement les idées de gauche.