bonjour karol
je te copie le commentaire que j’ai fais dans l’article violence traitant de ce sujet. je suis d’accord avec ton analyse caricatural, mais c’est un peu plus compliqué que cela, car les entreprises n’ont pas vocation à créer des emplois, ce qui laisse l’interrogation que l’on ne se pose pas d’où retirerons-nous dans ce cas un revenu d’autonomie économique, j’y réponds dans un essai rédigé en 1999 (http://ddacoudre.over-blog.com/55c7d999-e91f.html).
Pour l’instant il serait bon que le PS et les républicain implosent pour se restructurer de sorte que les choses soient claires.(http://ddacoudre.over-blog.com/2015/02/il-faut-que-l-ump-et-le-ps-implose-le-25-aout-1976-raymond-barre-devient-premier-ministre-son-objectif-arreter-l-inflation-qu-il-dec)
le commentaire : je penses même qu’ils auraient du les jeter à la « roubine » (petite
voir d’eau peu profonde pour son évacuation mais plus large qu’un fossé)
pleine de boue. c’est ce que faisaient les chauvins supporteurs de foot
dans mon enfance, quand l’arbitre prenaient des décision qu’ils
jugeaient iniques pour eux.
je crois seulement qu’il va falloir
légiférer pour qu’a l’avenir ce soient les propriétaires de l’entreprise
qui annoncent les licenciement sans avoir à s’abriter derrières des
salaries qui les représentent. a mon époque ont les appelaient les
Capos, ceux qui appartenant à la même classe se faisaient les portes
flingues de leurs commendataires qui restaient à l’abri. Ce changement
est intervenu avec la rationalisation du capitalisme dans les années 70
qui c’est traduite par un changement de sigle en 98 ou le patronat
français devient le Medef, et ou les cadres du patronat les Capos)
deviennent des parties prenantes du mouvement des entreprises par une
large distributions de stock options, et pire aujourd’hui tous les
citoyens employeurs ou salariés qui détiennent des actions d’une
entreprise qui licencie ne sont responsables juridiquement à proportions
de leurs portefeuilles d’Actions. cela aurait été drôle que des membres
du comité soient convoqué en tant qu’actionnaire responsable, par les
placements que font les banques pour leur compte, à siéger du coté des
patrons réels, ceux qui reçoivent des dividendes et qui sont ceux qui
vont les licencier.
Amoins que parmi ces « meutards » il y ait des
gens qui possèdent des actions d’air France, ils se trompent de cible,
comme dirait Laguiller c’est les patrons qu’il faut aller pendre.Mais
peut-être appartient-il a tous ces DRH grassement rémunérer de justifier
d’un droit de retrait.
cordialement.