D’une part réinjecter 14000 mlds € ds le circuit, ce qui fut la pratique nationale durant les décennies 60/70 avec, à la clé inflation + désindustrialisation,
ou 1500 mlds €, la question se pose de savoir si cette somme sera dirigée vers des infrastructures (selon l’usage dont le dernier ex la Grèce démontre l’utilité, investissement accompagné de son inévitable cortège de corruptions, commissions et pots de vin) ou en direction de l’appareil productif et de la r&d afin de renverser le rapport des balances commerciales et de la situation de l’emploi en Europe.
Est ce possible ds 1 contexte de financiarisation de la plupart des économies européennes et us ou règne la spéculation portée par les banques et instits financières à une échelle mondiale auxquelles profite malgré tt ce contexte de déséquilibres, servies en cela par 1 com politique vantant les mérites de la globalisation, des échanges internationaux et des bénéfices attendus pour les populations locales de l’incontournable tertiarisation des économies avancées
Ds les faits la mondialisation ne bénéficie qu’aux entités économiques disposant de la capacité de faire évoluer leur taille, organisation, profits, capitalisation et investissements à celle(s) de ce marché élargi.
L’inflation, tant attendue par ns gvts ne semble vouloir pointer à aucun horizon, la thése selon laquelle elle n’affecterait que les dépositaires d’un modeste capital (>40 ans) parait discutable, d’1 par parce que celui ci est majoritairement constitué de biens immobiliers (dont le caractère de valeur refuge & spéculative n’est + à démontrer) d’autre part parce qu’elle affecte indifféremment tt 1 chacun en raison des mécanismes de blocage (salaires, pensions, déremboudemenrs, fiscalité).
Seuls échappent aux effets de l’inflation les revenus en capacité d’investir sur le moyen terme.
L’inflation sert en premier lieu les couches dominantes et l’incommensurable hypocrisie et irresponsabilité de la caste politique.
Parmi les options,celle du conflit généralisé ?
ns en observons qqs prémisses,
la Russie tient à l’heure actuelle un rôle important certes mais secondaire (celui de la proie qui refuse à se faire gober)
L’ enjeu à terme se situe autour des rives du Pacifique (qui porte assez mal son nom soit dit au passage)
Reste l’hypothèse d’1 refroidissement généralisé de l’activité éco-mondiale, induit ou contraint,
ce ne serait pas 1 mal pr la planète malmenée,
demeure 1 obstacle majeur / les USA,
s’asbtenir ou renoncer au développement ds tes ses définitions n’est pas inscrit ds leurs gênes.
L’avenir le + probable est que ns ayons à ns serrer la ceinture de + crans supplémentaires, ce que semble indiquer l’article.
Le XXi télé siècle sera peut être religieux, + surement frugal ...
merci à l’auteur pr ce panorama éco-financier.
