@non667
1) Non, dans un marché libéral, la fixation des prix dépend de facteurs multiples et n’est en rien l’apanage des acheteurs. J’en veux pour preuve le gaz, l’électricité, l’eau, la nourriture, la santé, les services bancaires, etc. qui sont bien plus chers que ce que les acheteurs seraient disposés à payer si on leur laissait le choix. Dans les marchés hyper concurrentiels, ça peut jouer, encore que... sauf dans l’immobilier qui est soutenu, ainsi que l’affirme l’auteur, par des artifices de toutes sortes. Car là comme ailleurs, je pense que les acheteurs n’ont pas franchement envie de payer un logement des centaines de milliers d’euros entraînant toutes sortes de stress, de soumission et de privations. Les prix sont ce qu’ils sont à cause des vendeurs, bien aidés par l’Etat et ses politiques de défiscalisation à la noix.
2) Des chiffres pris à la volée n’ont jamais eu force de démonstration que je sache, sauf au Balto du coin, peut-être...
3) Je caricature à peine. C’est vous qui faites un lien entre migrants et prix de l’immobilier en hausse, pas moi. Souffrez donc que je rebondisse sur votre sophisme Quant à la politique, sachez que je ne porte aucune étiquette en bandoulière. Je ne vote pas et je n’en vois pas l’intérêt d’ailleurs. J’ai peine à croire que vous fassiez toujours un distinguo droite/gauche, comme si Hollande menait une politique de gauche, la bonne blague
Désolé que mon commentaire vous ait défrisé à ce point, il ne s’agissait pas d’une attaque ad hominem, mais d’un avis sur une démonstration bancale et hasardeuse.