@Zolko
Merci de votre réponse, enfin quelqu’un qui avoue son ignorance en clamant ma folie.
En tous les cas, vous poursuivez dans votre style de détourner le propos de l’autre.
Je trouve votre réponse pour le moins inutile puisque dans la citation que vous reportez, je parle explicitement de la monnaie thésaurisable, que j’appelle monnaie de dépôt, mais c’’est surtout pour défendre la monnaie de crédit, ce qui me fait écrire ceci :
Cet argument de l’aliénation par le crédit est donc sans fondement
puisque sans la constance du travail humain, aucune création de
marchandise n’est possible de manière pérenne et donc, aucune société
viable. Seule la monnaie de dépôt permet réellement d’aliéner les
salariés et ce d’autant plus qu’elle est rare. La monnaie n’a pas à être
rare, mais équilibré par le rapport d’offre/demande. la rareté de la
monnaie n’empêche pas la dette d’exister, mais d’être plus dure encore
pour son obtention, donc, de produire une dette plus élevé qu’avec la
monnaie de crédit.
Pour le paragraphe que vous reproduisez, vous n’avez manifestement pas lu beaucoup de mes articles et bien mal ceux que vous prenez à témoin. Si vous ne comprenez pas ce que j’écris, c’est que vous n’avez pas compris Smith, ou alors trop bien.
La lecture de vos commentaire m’indique que vous l’avez trop bien lu.
Je pourrai tout à loisir prendre des extraits dans divers articles, mais je vais juste me contenter de rappeler un passage issu de l’article dont vous reprenez des extraits.
On ne pense jamais au fait que cette monnaie est faite exclusivement
pour permettre les échanges entre propriétaires souverains et non entre
salariés. Quelle est faite pour permettre l’épargne du profit et la
faire « travailler » comme un capital productif, de la même manière que si
c’était un outil de production de marchandise de l’économie réelle.
Pour 99% des salariés, la monnaie qui a cours est la monnaie de
crédit, peu importe qu’ils utilisent une monnaie de dépôt ou de crédit,
parce que le salarié est toujours en dette vis-à-vis du propriétaire des
moyens de productions et doit donc acheter en permanence du crédit en
vendant son temps de vie (travail + activité) constamment, car ses
besoins primaires sont constamment renouvelé. Pour lui, la distinction
entre monnaie de dépôt (indestructible) et de crédit (temporaire) dépend
de son pouvoir d’épargne, donc, de son solde entre salaire et dépenses. Etc...
Ce qui est creux, ce sont vos réponses, mais encore une fois, je vous remercie d’avoir fait une critique, même si manifestement vous avez lu de manière très sélective ou trop rapide.
Quand à votre dernière question, la réponse est non, c’est l’évidence qui le dit !
je vous laisse à vos intérêts.