Racisme : les pieds dans le plat.

Il y a bien longtemps, les hominidés se sont probablement séparés en 2 branches distinctes, l’une restée en Afrique, l’autre émigrée en Europe. Du fait de la différence de climat (à l’époque, glaciaire en Europe), les hominidés du nord sont devenus les Neandertal et accessoirement carnivores à 99%.

Contrairement aux fadaises propagées ça et là, ils ressemblaient, sur la base de reconstitutions exigeantes à ça :

http://themandus.org/gallery/

Une bestiole poilue 6 fois plus forte que l’hominidé du sud, chasseur hors pair, carnivore et cannibale.

Lorsque ces monstres ont migré vers le moyen orient, ils se sont livrés à la chasse aux hommes modernes, moins bien outillés physiquement. Ils ont violé les femelles sapiens et ont engendré une descendance mixte. A contrario, les mâles sapiens n’engendraient rien avec les femelles Neandertal. In any way, un contact sexuel avec une femelle Neandertal se serrait soldée par l’ingestion de l’impétrant.

Peu à peu et dans une guerre qui a duré des milliers d’années, sapiens a pris le dessus. Et nous voilà, un mélange de sapiens et de Neandertal. Bref, à l’exception de populations indemnes du mélange (les SAN en Afrique, les seuls Sapiens « authentiques »), l’espèce humaine est bâtarde.

Conséquences : sapiens a conservé le traumatisme de ces batailles avec Neandertal au plus profond, en affectant certainement ce qu’on appelle l’épi génétique. L’ogre n’est jamais bien loin.

Que les colons post 1492 aient confondu l’autre (les groupes humains de la planète) avec les monstres d’antan n’est donc pas très étonnant, et c’était bon pour l’homme blanc.

Le vrai racisme est né de la différence entre sapiens et Neandertal. Il faudra attendre le décryptage du génome pour nous rendre compte de tout cela.

Question : quand on voit les SAN (je recommande le livre de l’anthropologue Victor Ellenberger « la fin tragique des bushmens », 1953, préfacé par l’abbé Breuil) et leur pacifisme légendaire, et exempt de tout mélange avec Neandertal, il est légitime de se demander dans quelle mesure le monstre du nord n’a pas gravement porté atteinte à la psyché de sapiens.

On retombe sur nos pattes avec Abel et Caïn, ou encore Jacob et Esau le rouquin velu comme un singe.

Et cela expliquerait les yétis et autres big foot, qui bien conscients de ce qui les attend s’ils côtoient les sapiens, se planquent et se sont organisés en conséquence.

Le racisme a donc bien peut-être des origines fondées sur une réalité oubliée et pervertie ensuite par l’ignorance, la facilité et la supériorité technique.

La domination (très provisoire à, l’échelle géologique) de l’homme blanc sur la planète tient donc peut-être plus d’un supplément de Neandertal qui en lui conférant une agressivité plus importante, a scellé le sort de Sapiens en voie de disparition. Dans quelques dizaines d’année, les SAN et donc sapiens auront disparu.

Ne resteront que les bâtards néandertaliens avec un sale caractère et une propension toute naturelle à chasser leur congénère en meute (voir géopolitique, terme bien policé pour parler de l’organisation de massacres planifiés).

NB : avant 1750, il n’y avait pas de bantous ou autres zoulous en Afrique du sud. C’était le pays des SAN. Avec l’arrivée des migrants du nord (en provenance des forêts de l’Afrique centrale), et des colons blancs, les massacres ont commencé. L’installation des actuelles populations noires en Afrique du sud a donc débuté par le génocide des SAN, et qui continue encore aujourd’hui.

En Afrique du sud, du côté des SAN, blancs et noirs venus du nord, même combat !

Nous assistons au génocide terminal de SAPIENS SAPIENS, et à l’installation de SAPIENS NEANDERTALIS, ce bâtard pathologique aux relents de barbarie et de cannibalisme, déclinable dans ses versions blanches, noires et jaunes.

NOUS !!!!!!!!!!!!!!!

Et vous voudriez que cela se passe bien ?