bonjour
Toute cellule qui ne reçoit rien de l’extérieur meurt sous ses propres déchets.
le capitalisme a envahi le monde, et comme il ne faut pas compter sur les
martien pour lui apporter quelque chose venant de l’extérieur il mourra sous
ses propres déchets
cela s’il n’est pas capable de les recycler. or le capitalisme n’est pas
réformable faute de ne plus être le capitalisme. il n’y a donc qu’a attendre
que de son délitement mondial qui en découlera apparaisse une réforme qui le
détrônera.
Alors nous pourrons concevoir cela : extrait de mon essai0
.
Nous
pouvons convenir que lorsqu’un particulier prend l’initiative d’un
investissement créatif, il est normal qu’il dispose des revenus et profits de
ce dont il est le propriétaire.
Mais lorsque
son projet doit utiliser l’aide de tiers, alors c’est lui qui est
demandeur ; et c’est une évidence que de comprendre que sans ces aides, il
ne parviendrait pas à ses fins.
De fait
une collaboration s’impose, et si le propriétaire veut être le maître absolu de
ses décisions, s’il veut disposer du fait du prince, alors
il doit rester seul. Dans tous les
autres cas il y a une collaboration à imaginer pour que le propriétaire
conserve les profits de son investissement et atteigne ses buts, sans
s’approprier ceux générés par les tiers.
L’histoire de l’impuissance collective a conçu des maîtres plutôt que des
guides, mais le reconnaître ne le rend pas irréductible ; et si le code
civil a analysé en 1804 la « marchandisation » de la force de travail
comme du « louage de service », donc du marchandisage. Je pense que
depuis 1804, il est intervenu bien des événements culturels (développement des
sciences) qui nous permettent de concevoir notre activité de travail complexes
entre adultes culturalisés, comme une relation humaine, et non un conflit
d’intérêt.
http://ddacoudre.over-blog.com/55c7d999-e91f.html.
cordialement
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