@Jeff84
ma réponse sur un autre article a été censurée a sauver /copiez et a répliquer rapidement !
je n’aie fait que rapporter les propos d’un
camarade communiste !
vous voulez me dire qu’il était un adepte de mein kampf ?
a ce propos peu après 1981 j’ai entendu la ministre de jospin
marylise lebranchu vouloir faire interdire la vente de mein kampf
estimant que les français étaient trop cons et que connaissant ce qui s’était
passé ils auraient malgré tout été capable d’adhérer à ses idées !
interdit ? comme les revues de femmes à poil ?
comme un gamin ,j’aie couru l’acheté !
il n’y en avait qu’un dans une très grande librairie ! je l’aie acheté et
lu facilement comme une B.D. , j’ajoute que du temps de
degaulle j’avais lu ses ouvrages estimant que l’on se devait de
connaitre ses idées avant de voter ,de même que j’ai lu ,le coup
d’état permanent ici et maintenant de Mitterrand ,et les 110
proposition du ps ! j’estime que ceux qui parlent politique sans avoir lu
mein kampf sont comme les puceaux qui parlent d’amour !
maintenant mein kampf n’est plus dans les rayons de la fnac , il
faut le commander ?
l’ayant prêté donc perdu je l’ai retrouvé gratuit sur un site
canadien (La Bibliothèque
électronique du Québec )
la mise en garde en guise de préambule vaut son pesant de cacahuètes
dont l’historique de la shoa ! de 15000 a 6..000.000 !....
Si la juiverie internationale réussissait, en Europe ou ailleurs, à précipiter
les peuples dans une guerre mondiale, le résultat n’en serait point une
bolchevisation de l’Europe et une victoire du judaïsme,mais l’extermination de
la race juive en Europe. »
À la fin de « Mein Kampf », Hitler écrivait : Si l’on avait, au début et au
cours de la guerre tenu une seule fois douze ou quinze mille de ces Hébreux
corrupteurs du peuple sous les gaz empoisonnés que des centaines de milliers de
nos meilleurs travailleurs allemands de toute origine et de toutes professions
ont endurés sur le front, le sacrifice de millions d’hommes n’eût pas été vain.
Au contraire, si l’on s’était débarrassé à temps de ces quelque douze mille
coquins, on aurait peut-être sauvé l’existence d’un million de bons et braves
allemands pleins d’avenir.