En effet, je n’en attends rien non plus.
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Est-ce un hasard si c’est l’année où se réunit le COP à Paris que notre gouvernement offre une de nos plages publiques au roi d’Arabie Saoudite ?
On lèche les bottes du roi d’Arabie, alors on va pas lui faire misère maintenant... Il va falloir ménager les susceptibilités pour assurer l’avenir des contrats juteux, n’est-ce pas ?
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Et tous les participants... ils viendront de leurs pays à vélo ? A l’ère de l’Internet ils sont obligés de se réunir physiquement pour faire leur grand-messe oecuménique ?
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Et les somptueux repas qui seront servis deux fois pendant ces 7 jours du 4 au 10 décembre (de surcroît à nos frais bien sûr), ce sera des produits de l’agriculture locale bien de chez nous ou ça viendra d’un peu partout à l’autre bout du monde ?
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M’étonnerait que tous ces apôtres de la bonne conscience aient envie de profiter de l’occasion pour donner l’exemple...
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Cette COP21 apparaît déjà comme une mascarade dès l’analyse des modalités de son futur déroulement. Déjà quand on voit la liste des mécènes on sait d’emblée que c’est perdu d’avance :
http://www.cop21.gouv.fr/partenaires/entreprises-et-mecenes/
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Alors ceux qui en attendent quelque chose sont bien naïfs. Il y aura des accords, oui... sur des points mineurs et surtout un accord majeur (excusez-moi je fais aussi de la musique) sur la date et le lieu de la prochaine grand-messe oecuménique dans quelques années.