• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de bakerstreet

sur COP COP COP KOPECK


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

bakerstreet bakerstreet 11 novembre 2015 00:48

@alinea
En dehors des livres, nous avons vu dans le temps longs de glissement en glissement, l’émergence d’un monde nouveau. Le monde des années 70 une sorte d’eden peut être finalement, pas trop normalisé, a disparu à l’orée des années 80 et du libéralisme. Un esprit nouveau est venu, fait de compétition, d’adaptation intempestive, de dérégulaton. Et c’est vrai que les gens se sont adaptés, se sont tordus à ces nécessites, comme on le disait. La nature aussi. On s’est habitué à des choses effarantes, à des villes surpeuplés, et les gens dans les grandes villes portent maintenant des masques, des nuages jaunes cachent la visibilité presque immédiate. On est revenu dans le Londres du dixhuitième siècle, mais à l’échelle du globe, avec son thick fog, ses gamins aux bronches malades. C’est une ennième révolution industrielle potentialisés par les pays émergents, comme on dti. Mais émergents de quoi ? Ils ont la tête dans le sac !...Mais chut !Ils travaillent aussi pour nous, ce sont les métiers à tisser et les forges de la planète. Le village est planétaire, mais c’est maintenant une banlieue industrielle, avec ces mêmes supermarchés, et ces indices de pollution. La globalité, on l’avait pas vu comme ça, à la façon d’un rétrécissement. Le temps long c’est vrai ne s’écoule pas de la même façon dans les cévennes, sur les bords de l’atlantique ou dans la ville de Canton ou de Mexico. Mais c’est dans ces cités que se trouvent l’essentiel des gens. Pendant longtemps on peut nier que cela nous regarde. Peut être au fond suffirait il de tout balancer, les télés, l’ordinateur et de coller son oreille sur le ventre d’une chèvre, ou d’un coquillage. Des choses qui vous rechargent d’une énergie plus saine que celle des portables. Mais malgré tout on revient au monde. Cela me rappelle un vieux poème de Youennn Gwernig un vieux poète breton, du moins je veux dire des années 60, mais qui avait pressenti ces choses là, les artistes sont aussi de grands météorologiste. « Tu ne peux t’enfuir nulle part », 


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès