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l’auteur
Djihadistes, salafistes, takfiris, frères musulmans,
ISIS, FIS, GIA, Al Qaïda, AQMI, Al nostra, Boko Haram, AKP, Nahdah,
Hamas et j’en oublie certainement, une véritable inflation de termes
comme autant de voiles pour occulter soigneusement un nom que nos
merdias ainsi que tous les pseudo experts, pétrodollars obligent, ne
prononcent pratiquement jamais ou très rarement : Le
wahhabisme, qui
est à l’Islam ce que le $ionisme actuel est au Judaïsme ou
l’évangélisme messianique au Christianisme.
Le wahhabisme
$aoudien (pléonasme ?) est donc le vrai nom du djihadisme, car, entre autres horreurs, il
déclare licite le djihad à l’encontre de musulmans, ce qui
constitue un non sens total et une grave perversion de l’esprit et de
la lettre du Coran en Islam.
Voici
exposé de façon simple et succinct le problème du terrorisme dit
islamique, que votre laborieux et fastidieux article complique à
souhait.
Complication
inutile ? Que nenni, car, comme une 25ème image subliminale,
vous dévoilez vos intentions : « Le
gouvernement français a eu raison de désigner Bachar al Assad comme
le principal responsable de l’émergence de DAESH. Est-ce que cette
clairvoyance survivra aux attentats de Paris ? … »
Ben
voyons ! Inversion accusatoire classique, On croirait entendre
le $ionissime L. Fabius ! Quel entêtement obsessionnel et
quelle étrange conception de la démocratie !
En
quelle langue faudra t il vous faire comprendre que la politique du
porte-avion (ex canonnière) c’est fini, à moins de vouloir une
ultime guerre mondiale, que le
Peuple syrien et lui seul est en droit d’élire ses dirigeants, de
décider de son système politique, de son avenir et personne
d’autres, peuple élu et/ou nation exceptionnelle compris, quand bien même il déciderait, dans le cadre d’ élection régulière, de réélire B. Al Assad.
« Charlie »
a raison, votre article, infographies comprises, est effectivement une noyade de poisson.