@OMAR
Le veilleur de service qui commence à raser les murs...

Ya Omar, question de courage et de bienséance :

1- Commencez par vous identifier à visage découvert avec votre identité plutôt que de vous dissimuler dernière un nom qui est peut-être le vôtre mais que vous devriez avoir le courage d’assumer pour le porter., ne serait-ce que par respect pour le véritable Omar. et tous ceux qui ont eu l’honneur de le recevoir. En France, on se présente. C’est un usage et une coutume qui s’impose à chacun.

2- Ensuite, s’agissant « d’extermination physique d’une certaine communauté » (je vous cite), que pensez-vous de« certains membres d’une certaine communauté » qui, se prévalant d’une nationalité française qui leur est à la fois insupportable et bien commode, n’hésitent pas à massacrer leurs compatriotes ou, pire encore, à nourrir l’horrible brasier de cette fitna mortifère et destructrice qui ensanglante une partie du monde ? 

Exprimez vous. Cette Tribune vous est ouverte.

Une société a non seulement le droit mais l’obligation de se défendre contre ceux qui la menacent, comme tout organisme qui secréte des anticorps.

Sur le fond, la bonne nouvelle est que ce cancer finira par être vaincu..

J’imagine, à moins que vous fassiez partie du camp opposé - et alors là, réfléchissez rapidement aux dispositions que vous devez prendre : rester, partir ? - que vous ne pourrez que vous réjouir de l’éradication des criminels qui ont reçu ce matin la récompense et la juste rétribution de leur déviance.

Un peu de réflexion ? Je vous propose un exercice que le lettré que vous devez être (je me réfère à votre nom), lira avec plaisir . En cas de difficulté, n’hésitez pas : je me ferai une joie de vous traduire ce beau poème :

A vous lire.

Voici :

عليك بتقوى الله ان كنت غافلا
يأتيك بالأرزاق من حيث لا تدري

فكيف تخاف الفقر و الله رازق
فقد رزق الطير و الحوت في البحر

و من ظنّ أن الرزق يأتي بقوّة
ما أكل العصفور شيئا مع النسر

تزول عن الدنيا فانّك لا تدري
اذا جنّ عليك الليل هل تعيش الى الفجر

فكم من صحيح مات من غير علة
و كم من سقيم عاش حينا من الدهر

و كم من فتى أمسى و أصبح ضاحكا
و أكفانه في الغيب تنسج و هو لا يدري

فمن عاش ألفا و ألفين
فلا بدّ من يوم يسير الى القبر