Commentaire de Passante
sur Parions sur la vie
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Des routes bordées de grilles et de murs, contenant à peine leurs bosquets, et les atroces fleurs qu’on appellerait cœurs et sœurs, Damas damnant de langueur, — possessions de féeriques aristocraties ultra-Rhénanes, Japonaises, Guaranies, propres encore à recevoir la musique des anciens — et il y a des auberges qui pour toujours n’ouvrent déjà plus— il y a des princesses, et si tu n’es pas trop accablé, l’étude des astres — Le ciel.
Le matin où avec Elle, vous vous débattîtes parmi les éclats de neige, les lèvres vertes, les glaces, les drapeaux noirs et les rayons bleus, et les parfums pourpres du soleil des pôles, —ta force.
Derniers commentaires
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22/11 12:35 - Agafia
Joli texte... J’ai repris depuis longtemps l’adage que répétait souvent mon (...)
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21/11 13:17 - Passante
Des routes bordées de grilles et de murs, contenant à peine leurs bosquets, et les atroces (...)
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21/11 12:52 - bakerstreet
Les chats sont une énigme ! D’autant plus forte qu’ils ne nous posent pas de (...)
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