La gauche est une « classe sociale », si on veut utiliser leurs terminologies, mais en réalité un e’« peuple » si on y regarde de prêt. Ce qu’elle dit vise essentiellement à justifier son prélèvement sur la société, dans une large mesure, mais pas uniquement, sous forme de prélèvements.
Ses discours sont exclusivement des paravents idéologiques visant à à camoufler et à justifier ce parasitisme.
Sur un siècle, on retrouve tout et son contraire dans leurs discours. Entre deux guerres, toutes les gauches sont à peu prêt hostiles aux migrations en générale, et considèrent en particulier l’Islam comme une forma particulièrement condamnable et ridicule d’obscurantisme.

Il en ira de même demain si c’est leur intérêt. Il ne faut en aucun manière s’inquiéter pour l’existence des gauches qui sont des populations solidement enkystées dans des positions qui leur permettent de persévérer dans l’être quoi qu’il advienne et quoi qu’elles disent.

Ce vers quoi nous nous acheminons, c’est une période, sans doute assez courte, pendant laquelle le reste de la population va les contraindre à mieux partager avec les pauvres et les travailleurs, et à accepter de donner un peu de souplesse à notre société.

Cela ne durera pas : il ne faudra pas 5 ans pour que l’ensemble des gauches deviennent identitaires, super laïques à l’ancienne comme autrefois et à différentes reprises.

En période de croisière, les gauches sont le poids mort qui stabilise nos société et évite qu’elles évoluent trop rapidement. Cela peut être positif. Ainsi, sous la troisième nous avons fait assez largement du sur place après les changements fulgurant du premier 19 ème. Aujourd’hui, il devient nécessaire de bouger un peu pour s’adapter. Elles se recroquevillerons et nous laisserons faire le travail. Et puis elles refleuriront comme avant, avec d’autres mots, d’autres paravents