Il semblerait que le mot « technologie » n’attire plus les foules.
Pourtant, est-ce que quelqu’un, quelque part, évoque encore une question de fossé numérique ?
Toutes celles et ceux qui juraient leurs grands Dieux qu’ils se contre-fichaient des « lubies » de l’ordinateur personnel, du « multimédia », puis du téléphone portable, sont maintenant suréquipés ... et sont croient s’être approprié ces technologies. La dimension technique leur paraît être une préoccupation ringarde, beaucoup moins ’noble« qu’un commentaire incessant des derniers soubresauts de l’actualité politico-médiatique , ou des résultats du dernier match.
Les imprimantes 3D et les matériaux-consommables requis auront-ils le loisir et le temps de se développer de façon aussi fulgurante que les ordi ou smart-phones ?
Sans doute ... si l’effet du tsunami virtuel déjà en cours n’altère pas, avant, ce fabuleux élan.
Les historiens qui tiennent les évolutions techniques pour premières et déterminantes dans l’Histoire de l’humanité trouveront certainement intéressante cette étude sociologique :
»L’esprit du jeu dans les sociétés postmodernes« Anomies et socialités : bovarysme, mémoire et aventure
et ils pourront y déceler des connections avec l’actualité vécue par nos jeunesses.
Cela peut, en tout cas, aider à élargir le ’débat’ qui monopolise aujourd’hui toutes les attentions, hypnotisées par ce ’piège asymétrique’ : https://www.linkedin.com/pulse/le-pi%C3%A8ge-asym%C3%A9trique-nicolas-rousseaux-%E5%8D%A2%E6%BA%AF
(lien dont je retiens cette phrase :
- »Mais l’histoire se construit sur des accomplissements collectifs, par sur des épanouissements personnels". )