@francesca2
L’ouvrage est déjà assez grand comme ça sans qu’on rajoute les bagarres de clans.
Il n’y a plus de place dans le car, toutes les places sont prises, y en a même qui voyagent debout. Tout le monde est pas traité comme les bourgeois du bourget.
Déjà qu’on me reproche de traiter ensemble terrorisme, climat, état d’urgence, écologies, mesures arbitraires et Charlie. Mais tous les fils de l’ouvrage se croisent et se mélangent.....
Traiter l’affaire dreyfus à coté c’est du gâteau. J’imagine que la fin du monde ne sera pas triste, contrairement à ce que disait Brassens dans « le grand pan ». Tout le monde continuera à s’attraper le col, et peut être même à nier le réchauffement. La négation des choses les plus évidentes, dans un beau déni semblent être une attitude à la mode. Les avocats la recommande à leurs clients.....« NIez, niez niez...Même s’ils ont toutes les preuves. »...C’est un schéma paranoïaque qui parcourt la planète dans tous les sens. On est mal barré ; l’amour vous condamne, vous transforme en naïf, en bobo, ou en réactionnaire, dans cette gare de triage, où d’étranges locomotives fumantes discutent de la qualité de l’air pour les générations futures.... « Quand on n’a que l’humour », chantait Jacques Brel. Mais même les flamandes ne sont plus ce qu’elles étaient