@Vera Mikhaïlichenko
Je partage
votre point de vue, en grande partie. On a suffisamment de défis bien réels à
relever pour remplir nos vies. Il y a de quoi s’occuper. Nombre d’athées
meurent apaisés entourés de leur famille (éventuellement recomposée) après une
vie bien remplie et un patrimoine renforcé au bénéfice des enfants.
Mais l’un
des défis à relever, en plus de l’effet de serre, des armes de destruction
massive … est la rencontre et la confrontation avec des hommes qui ne sont pas tout
à fait comme nous, qui n’ont pas la même attitude que nous face à la mort, qui
ne se soucient guère de démographie et multiplient leur descendance comme au
temps où un enfant sur deux ne survivait pas, au contraire des Européens de
souche qui ont opté pour un suicide démographique silencieux.
Ces hommes
sont aujourd’hui nos voisins de palier. Se posera inévitablement la question de
savoir qui sera le plus fort face aux défis qui menacent la terre et l’espèce
humaine. L’homme sans dieu qui veut vivre à tout prix, bien vivre et le plus
longtemps possible. Ou bien l’homme de foi, qui croit que sa vie / sa mort dépend
d’une une entité supérieure qui le dépasse et le guide. Je n’ai pas la réponse,
juste une intuition.