Je voulais revenir sur le sujet du canabis. Et plus précisément, sur l’idée de Nicolas de le légaliser.
Je crois que c’est en tout cas quelque chose qui vaudrait le coup d’être tenté ! Ne fut-ce qu’en voyant ce que la situation actuelle résout, l’idée de Nicolas pourrait difficilement être pire, à mon sens.
Et même dans ce cas, la situation actuelle étant la plus simple à instaurer, si la légalisation du canabis ne marche pas, on pourra toujours revenir en arrière. Alors, autant essayer de voir ce que ça donne, non ?
Si on regarde la situation actuelle - donc de non-légalisation - on constate qu’il y a une grande demande de ce produit et que cette demande profite aux dealers qui se remplissent les poches avec un risque minime qui ne vaut pas beaucoup comparé aux profits engendrés.
A propos de ces profits, je ne suis pas vraiment d’accord sur le fait qu’il pourraient profiter à la société et à ces quartiers si le canabis venait à être légaliser. Ce seront toujours les dealers qui empocheront les bénéfices.
En revanche, si le canabis est rendu légal, ces dealers se devront d’être reconnus officiellement en tant que commercants ! Ce qui implique, comme le disait Nicolas, de devoir payer des taxes ou impôts (je ne connais pas bien le système en France, n’étant pas français). Or, celà ne les intéressent pas de devoir payer !
Du coup, ils hésiteront peut-être à continuer dans ce traffic qui n’en sera plus un ! Car, s’ils veulent continuer, ou bien ils doivent se légaliser, ou alors ils continuent à vendre leur shit en « dealer » et non en « commerçant ».
On pourrait penser que rien n’a changé alors mais au contraire, je pense que grâce à ça, les consommateurs préféront peut-être ceux qui sont légaux pour éviter tous problèmes avec la police et la justice. Après tout, autant éviter des risques inutiles, non ?
En ce sens, ce n’est pas une mauvaise idée, d’après moi et même si celà ne marchait pas, la situation n’en serait pas beaucoup pire et même dans ce cas, un retour en arrière serait toujours possible.
PS : Veuillez excuser toute faute de frappe ou d’orthographe que j’ai pu faire, merci.