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Commentaire de PIPO

sur La ponérologie politique : étude de la genèse du mal, appliqué à des fins politiques – une psychologie du complot (1/3)


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PIPO 8 décembre 2015 15:02

@Hervé Hum
D’accord sur le fond, pas sur la forme.
je m’explique, en redéfinissant la notion de psychopathe on peut l’intégrer à tous les environnements et permettre cette transition consensuelle que nous désirons tous. Changer les termes ne ferais que retarder la compréhension du phénomène et nous exonérer de notre passé pour mieux recommencer.
La guerre est une conséquence du rapport de domination que ces personnage ont avec le reste du monde, C’est la prise de conscience de tous (surtout d’eux-mêmes si c’est possible), des conséquences qu’ils produisent qui pourrait changer les choses.
Si vous leur dites en temps de guerre votre comportement est normal, ils créeront la guerre perpétuelle.

« La deuxième chose, c’est que la genèse du mal est toute entière contenu dans la volonté d’exploitation du temps de vie d’autrui »
Je pense, comme je l’ai écrit plus haut à Philippe, que c’est le moyen de remplir leur vide intérieur.
Un vide créer très tôt dans l’enfance par ceux qui auraient du le remplir d’amour.
Il y a aussi la génétique qui parle d’un gène appelé « le gène du guerrier » qui s’activerait (à des fins de survie) en fonction d’un traumatisme dû à la guerre mais pourquoi pas aussi un traumatisme dû à une défaillance parentale. On peut constater les mêmes atrocités qui se produise dans ces pays continuellement en guerre et chez certain psychopathe traumatisé dans leur enfance.
Le film « Human » de Yann Arthus-Bertrand nous montre un soldat qui nous explique qu’il prend plaisir à tuer, sans autre explication. Cet homme est un Psychopathe, point.
Le manque d’amour engendre le manque d’amour, l’amour engendre l’amour.
Je crois que c’est aussi simple que ça.


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