@Robert Bibeau
Vous commencez par écrire que je me trompe en disant le contraire de ce que j’écris.
Aussi, c’est vous qui vous trompez !
Je reste dubitatif, vous faites un paragraphe entier sur un détail (sur lequel vous avez raison), mais passez sur l’essentiel, à savoir, que la seule monnaie qui soit vrai et équitable pour le salarié, c’est la monnaie de crédit en lieu et place de la monnaie d’épargne.
Pour ce que vous appelez « la thèse du temps de vie », là aussi, votre lecture me paraît très partielle, lecture sans doute en diagonale qui vous fait lire tantôt le contraire, tantôt commenter en décalage comme pour la suite.
Le terme exact est « temps de vie dédié à autrui ou détenu sur autrui », c’est donc une expression générique, parlant de toute activité rémunératrice, que ce soit le travail ouvrier, de création artistiques, d’activité de services, etc...
Or, l’escroquerie sémantique du système capitaliste, consiste à dire que ce n’est pas du temps de vie dédié qui est échangé, mais des marchandises. De cette manière, le temps travaillé est intégré dans le coût de production et personne ne voit plus la part représenté par le travail dans le prix de vente.
Autrement dit, je défend ici la théorie marxiste et non le contraire comme vous le croyez ou voulez le faire croire !
Alors, si vous avez lu en diagonale un ou des articles que je vous ai mis en lien, oubliez ce que vous avez lu, vous n’y aurez trouvez que ce que vous vouliez et non ce qui y est écrit.