« le Front national, ou du moins ses ancêtres ont déjà gouverné la France sous Vichy et pendant l’occupation allemande. »
Ha oui ? Vous etes sérieux ? Vous fumez quoi ?
D’aprés vous qui est le père de Hollande ? Trouvé sur le net « La matrice » (Ouaf ! ouaf !)
-« Il est le fils cadet4 de Georges Gustave Hollande, catholique5, né le 9 mai 1923 à Cognac, médecin ORL, candidat perdant sur une liste d’extrême droite aux élections municipales de Rouen en 1959 et de Bois-Guillaume en 1965 »
Bon ça c’est du wikipedia édulcoré (« Matrice »:ouaf ouaf !)
Suivons Google (« la matrice » ? Ouaf ouaf !)
-Georges Hollande était un militant proche de l’OAS.
-Son père, Georges Hollande, docteur, était un pétainiste convaincu, favorable à l’Algérie Française et proche des mouvements d’extrême droite. Il fut
d’ailleurs candidat sur une liste d’extrême-droite à deux reprises -
sans succès - aux élections municipales à Rouen en 1959 et 1965.
-Georges Hollande, médecin d’extrême-droite qui soutiendra l’OAS et les
ratonnades du pont de Neuilly, le massacre de la station Charonne et le
passé du préfet Papon, ce notable poujadiste de Bois-Guillaume, que
faisait-il en 1943 (il avait 20 ans) ?
Note : Ce notable Hollande n’était pas poujadiste, meme si proche de Tixier-Vignancourt auquel à participé JM Le Pen poujadiste lors de sa campagne éléctorale.
-Georges Hollande nourrit une affection certaine pour le maréchal Pétain depuis sa mobilisation en 1944. De même, l’homme déteste cordialement le général de Gaulle.
Bis repetita.
-En 1965, il se présente à nouveau aux élections municipales, à
Bois-Guillaume, à la tête d’une liste de « rénovation et d’expansion » à
la composition sulfureuse. On y trouve des anciens de l’OAS, des élus
soupçonnés d’avoir trempé dans la collaboration et des industriels du
bâtiment plus intéressés par les terrains vierges de la commune que par
le débat, qui fait rage alors, sur l’introduction du français à la place
du latin dans les églises. Nouvelle déconvenue : il est battu à plate
couture par la liste gaulliste.
Mensonge de gauche n°1 : Les collaborationnistes pendant la seconde guerre mondiale étaient
majoritairement à l’extrême droite. C’est tout l’inverse. La majorité
des premiers résistants était issue de l’Action Française qui prônait le
“nationalisme intégral” et était germanophobe.
Mensonge de gauche n°2 : La gauche pacifiste, antiraciste et philosémite a majoritairement
composé la Résistance. C’est tout l’inverse. Les pacifistes ont continué
d’être pacifistes sous la botte des nazis (comme les dreyfusards).
-12 des 17 ministres SFIO de la fin de la III° République furent exclus
du parti après guerre pour avoir collaboré avec les allemands.
On notera que le « père de l’Europe » Robert Schuman avait voté les pleins pouvoirs à Pétain.
On notera que Jean Monnet, autre « père de l’Europe » travaillait pour le DoD américain, aprés s’etre enrichi dans le trafic de cognac pendant la Prohibition, du temps de Al Capone.
Tout ceci demande à etre vérifié. Néanmoins une bonne lecture d’Annie Lacroix-Riz s’impose pour légitimer tout ça.
Alors donner des leçons de démocratie à la famille Le Pen....