« La discorde chez l’ennemi.... »
Dans le premier chapitre, l’auteur relate quelques désobéissances célèbres de généraux allemands :
- celle du Prince Royal à Koniggraetz lors de la guerre austro-prussienne de 1866,
- celle du Prince Frédéric-Charles devant Metz le 15 août 1870,
- et particulièrement celle de von Kluck à la bataille de la Marne en septembre 1914.
Si les deux premières ont réussi à leurs auteurs, la dernière
entraîne une défaite des armées allemandes. Excluant tout dogmatisme
dans la conduite de la guerre, le capitaine conclut qu’à « la guerre, il
n’y a pas de système universel, mais seulement des circonstances et des
exécutants : ce qui avait réussi contre un Benedek ou un Bazaine,
Joffre le fit échouer ».
L’ouvrage s’achève sur une étude portant sur l’écroulement du moral
allemand en 1918, effet de la « terrible logique de la guerre ».
Donc, rien n’est écrit, mais les dissensions au sein des 30 à 35% d’entre nous qui votent encore pour l’une ou l’autre des gauches, vraies ou fausses, au delà de l’effondrement moral que nous constatons tous ( même à gauche), devrait finir par emporter aussi l’effondrement physique...
Mais de qui ? Joffre, initié maçon à la loge Alsace Lorraine, est connut pour avoir gagné la bataille de la Marne, mais également pour avoir peut être, épuisé la France dans des offensives à outrance d’un autre temps.
Dés lors on pense à Pascal : votre zezette dans le rôle du boiteux et Bartolone et Fourest, dans celui de l’esprit boiteux...