@Thierry SALADIN
Je crois que vous faites une erreur d’appréciation. Personne au Bureau national n’a jamais empêché le travail de terrain à l’ UPR.
Il fallait bien commencer par le commencement, les conférences sur Internet et avoir des adhérents. La première phase est acquise, construire un rassemblement sur le programme CNR, et recruter des adhérents : 10 000, c’est fait. Merci à tous ceux qui ont rejoint l’ UPR ou qui la soutienne !
Il s’agit maintenant de passer à la 2e phase : faire connaître l’ UPR aux Français, sur le terrain, sans attendre les grands médias qui mettront le couvercle aussi longtemps qu’ils le pourront...
Maintenant, je crois que tous les adhérents de l’ UPR ont compris, la censure va continuer. Mieux vaut d’ailleurs qu’ils nous oublient, si c’est pour traiter l’ UPR de fachos, de complotistes et autres noms d’oiseaux, faute d’arriver à argumenter et à débattre, les débats c’est pas pour maintenant !
Il s’agit désormais d’être présents sur le terrain partout, et en dehors des périodes électorales. Déjà, les médias locaux ont ouvert leurs colonnes aux candidats UPR dans les régions, c’est nouveau. Mais les Français ne peuvent pas voter pour une organisation qu’ils ne connaissent pas.
Les Français sont en colère et/ou déboussolés, ils se méfient des Partis politiques, se posent beaucoup de questions, et se méfient des militants qu’ils ne voient qu’en période électorale, pour solliciter leurs suffrages, et qui disparaissent le reste de l’année.
C’est donc sur le terrain désormais, que les équipes doivent être présentes, afin de créer un contact direct. Les analyses de l’ UPR demandent beaucoup d’explications et beaucoup de temps.
C’est 40 ans de mensonges qu’il faut détricoter, et ce n’est pas rien !
Je ne vois pas d’autres solutions dans la situation actuelle.