Il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir dit le dicton.
Votre article, comme les autres sur les spéculations théoriques de la science, en est la plus claire démonstration.
"Certes, pour rendre tout ceci matière à travail scientifique, il
faudrait montrer comment, phase par phase depuis au moins la formation
des particules, des systèmes d’abord extrêmement simples, composés de
quelques atomes, auraient pu s’organiser en moteurs générant des données
sous-produits de leur action."
Pourtant, rien n’est plus simple à démontrer pour un esprit scientifique !
Mais voilà, tout esprit scientifique est d’abord un esprit humain, où au dessus règne non pas la raison pure, mais la passion. Où règne la pensée unique qui comme au temps de Copernic interdisait toute remise en cause du dogme. Mais cette fois pourtant, c’est différent, la chape ne se trouve pas au dessus, mais en dessous, c’est à dire, dans la tautologie du principe de la relation de causalité que les scientifiques croient connaître, alors qu’ils ne la connaissent que de manière très superficielle. Tautologie mal comprise qui maintient le monde scientifique dans la dissonance cognitive ou ici, dissociation de relation de causalité. Incroyable, pour un monde prétendant bâtir sa raison sur la logique, elle même indissociable de la relation de causalité.
Quand la réponse sera rendu publique, il est certains que le monde scientifique va s’arracher les cheveux, tant la réponse est triviale. Mais encore une fois, face à la dissociation de relation de causalité, la trivialité est partout, sauf là où on ne veut pas quelle soit !