@Gcopin
Vous ne vous trompez pas !
Cela dit, l’explication est trop sommaire, il faut lui donner un formalisme qui puisse être exploité par l’esprit humain.
"une méthode pour programmer un nombre aléatoire sur une
bécane qui dépend vraiment du hasard, sans brancher une interface
quantique je suis preneur !«
Ce que montre la fourmi de Langton ou autre automate cellulaire, c’est que le hasard est le mot donné à l’impossibilité mathématique de prédire à l’avance un résultat.
Aucun algorithme ne peut donner la position exacte de la fourmi à tout instant et cela pour des raisons simples, mais implacables. En physique on appelle cela l’interférence.
Bref, les interférences agissantes dans un système quelconque, modifies son espace-temps et oblige alors à intégrer celle ci dans l’algorithme. Ce qui n’est possible qu’au moment de l’interférence, lorsque celle ci n’a pas été prévu au départ, donc, dans l’algorithme de départ.
C’est ce qui explique l’impossibilité de trouve un nombre premier quelconque, car chaque nombre premier ajoute sa propre variable dans l’algorithme de départ. En effet, chaque nombre premier interfère avec tous ceux qui le précède.
Ce n’est pas difficile à voir et comprendre, mais cela heurte la prétention humaine à tout prévoir, tout maîtriser sans devoir respecter les principes fondamentaux de la nature. Bon, c’est infiniment plus complexe, mais ce n’est pas le lieu pour en parler, trop difficile.
Bref, l’humain est »victime" de son égo qui le pousse dans les pires aberrations logiques. Mais nul ne peut se placer au dessus du principe de la relation de causalité... Pas même Dieu !
D’ailleurs, que ce soit la fourmi de Langton ou le jeu de la vie, personne n’a encore imaginé de changer le principe de causalité définit car il sait pertinemment que cela rendrait caduque tout le système. L’absurdité est ici patente, mais ne l’est plus dès lors qu’on parle de la vie, avec cette dernière, on utilise l’arme fatale... Le déni de réalité ou ici, dissociation de relation de causalité !
Je connais bien les réponses, mais ce n’est pas ici que je les développerai.