La finitude (relative puisque c’est l’infini des vitesses) de la vitesse de la lumière (dans le vide) est déjà présente dans la relativité restreinte et ensuite générale. Or ces deux théories mènent à une anomalie au début de la manifestation de notre univers et sont donc fausses puisqu’une de leur prédiction est inexacte.
Dans le monde macroscopique, une vitesse indique un déplacement entre deux points dans un laps de temps, mais en physique classique (macroscopique) on fait comme si l’espace et le temps étaient deux choses que très certainement ils ne sont pas (à savoir statiques).
C’est (un peu) comme l’infini des températures négatives (- 273°C et des bananes) qui correspond à l’énergie cinétique nulle des corps placés dans un tel milieu. Plus nul que nul est comme plus « blanc que blanc », on ne sait pas faire.
De mémoire, même les expériences sur les paires de particules corrélées (au départ) puis séparées, qui semblent échanger de l’information à vitesse supraluminique ne sont pas interprétées comme une violation de cet infini, mais comme une mauvaise compréhension de la nature de l’espace et/ou des corps à petite échelle.Par ex on ignore si un objet quantique est un « fonctionnement tridimensionnel » d’une entité mono ou bidimensionnelle ou par ex une projection tridimensionnelle d’une entité qui aurait 8, dix ou 20 dimensions en réalité...
Quand on sait qu’on a réussis à voir des franges d’interférence en faisant interférer avec lui-même un photon unique, on comprend mieux que la notion de vitesse est moins simple que dans le monde macroscopique classique (non relativiste déjà) où nous évoluons.
Comme pour la vitesse du son dans l’air, on ne peux a priori exclure qu’il y ait un moyen de franchir le mur, mais à l’échelle macroscopique on peux douter...