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jjwaDal

jjwaDal

Un petit bonhomme d'une curiosité exceptionnelle qui considère la recherche de la réalité comme une des plus belles expériences de la vie.

Tableau de bord

  • Premier article le 23/06/2008
  • Modérateur depuis le 02/08/2008
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Derniers commentaires



  • jjwaDal jjwaDal 24 novembre 03:57

    @Tolzan
    Aucun espoir particulier à attendre de Trump si j’en juge ses déclarations (il ne veut négocier qu’en position de force) et ses nominations à des postes clés où il a déjà placé une jolie brochette de suspects habituels.
    Ce « pacifiste de campagne électorale » n’a au cours de son précédent mandat arrêté aucune guerre et a précipité la guerre en Ukraine en lui fournissant des armes létales. Il a crucifié l’accord sur le nucléaire iranien pourtant jugé de qualité par tous les observateurs probablement à la demande du lobby sioniste et est entièrement derrière la campagne génocidaire en Palestine. Il sera encore plus outrancier dans la défense de la cause sioniste que ne l’était Biden.
    Ce n’est ni lui ni son équipe qui lèveront le pied dans la confrontation avec la Russie, mais les militaires et les menteurs professionnels (le renseignement) qui finiront par dire ce qui crève les yeux, à savoir que nous allons tous à la boucherie s’ils continuent (y compris eux).
    Mais le sommet de l’Etat US est essentiellement un asile pour psychopathes et très peu de voix saines s’y font entendre. Tulsi Gabard à la tête du DNI (qui supervise le renseignement) est une lueur d’espoir, à voir si un esprit sain pilotant un grand corps malade peut le ramener à la raison.



  • jjwaDal jjwaDal 23 novembre 20:42

    @Giuseppe di Bella di Santa Sofia
    Donc elle est antisémite ? elle sera ravi de l’apprendre. Des juifs qui récusent totalement l’amalgame avec le sionisme il y en a des tas et vous ne pouvez l’ignorer.



  • jjwaDal jjwaDal 23 novembre 20:04

    Je pense que c’est une erreur de penser que nos dirigeants sont dans le déni de la situation géopolitique sur le continent européen et de la situation militaire en Ukraine.
    Le géopolitologue américain John Mearsheimer l’a dit à de nombreuses reprises. Les Russes sont le dos au mur car le faux nez des USA (l’OTAN) est arrivé à ses frontières et les USA ont ouvertement parlé de démanteler la Russie et d’y opérer un changement de « régime ». Des personnages haut placés de la vie politique US ont même ouvertement évoqué une frappe nucléaire préventive sur la Russie.
    Mais les USA et les européens se sont mis imbécilement le dos au mur, car ils pensaient que la Russie ne réagirait pas autrement que verbalement et que leur « ordre mondial » prévaudrait, celui du plus « fort », celui de celui qui fait les règles, en dispense qui il veut, et les viole quand ça l’arrange.
    Ce qu’ils refusent, c’est de voir que le monde sous tutelle du bon vouloir des occidentaux est révolu et la défaite du « projet Ukraine » serait la démonstration qu’il existe d’autres intérêts que les leurs et qu’ils ne sont plus les seuls à décider.
    Il faut bien comprendre que les dirigeants des USA sont capables d’aller « jusqu’au bout », y compris avec la Chine pour ne pas symboliquement faire le deuil du monde unipolaire où ils se sont pris pour les « maîtres du monde » (« The deciders » comme disait W. Busch) et Trump n’y changera rien vu qu’il ne songe à négocier qu’en position de force.
    La grosse différence est que pour la direction russe, c’est une crise majeure, existentielle, éligible en dernier ressort à une riposte nucléaire et on peut douter que les USA se mettent dans la situation de devoir subir une frappe nucléaire sur leur territoire pour « défendre la démocratie » dans une Ukraine qui ne l’a jamais été (comparable à la Russie à bien des égards).Dit simplement une Ukraine non hostile est stratégique pour la Russie et une Ukraine dans l’OTAN ne l’est nullement pour les USA.
    Si on échappe à WW3 on aura un déclin économique marqué en occident du niveau de vie pour cause de dépenses militaires conséquentes et totalement inutiles puisque la Russie ne voulait pas plus attaquer l’Ukraine qu’elle n’a envisagé une attaque sur un pays européen. On aura surtout une double muraille de missiles probablement hypersoniques de part et d’autre d’une frontière entre ce qui restera de l’Ukraine et la Russie et un monde partitionné entre l’Occident et ses quelques suiveurs et le reste du monde.
    Tout cela parce que des idiots ont jugé bon de promettre une entrée dans l’OTAN à un pays comprenant une population russophile et russophone significative, refusé d’accorder une autonomie (après le coup d’Etat de Nulland) aux régions de l’Est, refusé les accords de Minsk qui prévoyaient une Ukraine intacte, refusé les négociations fin mars 2022, un mois après le début de l’opération spéciale russe, refusent encore la partition comme ce fut le cas de l’URSS, la Yougoslavie, la Tchécoslovaquie. Le Kosovo avait le droit à l’autodétermination uniquement parce qu’une grande base de l’OTAN y avait été envisagé bien avant que l’OTAN ne bombarde les serbes, mais le Donbass a probablement fais le choix du mauvais camp.
    Les européens paieront chèrement le prix de leur lâcheté face aux USA en espérant que la Russie ne leur présente pas une note salée additionnelle.



  • jjwaDal jjwaDal 23 novembre 08:57

    Tout le monde a oublié la crise des « Pershing » et la sortie unilatérale du Traité sur les armes à portée intermédiaire par les USA, mais basiquement la direction russe vient de rappeler que ce qui était une énorme ânerie pour tout le monde dans le passé l’est bien plus encore aujourd’hui.
    Ce que les russes ont lancé est un missile à portée intermédiaire à tête multiple surfant sur les hautes couches de l’atmosphère, donc trajectoire non balistique, pour basiquement doubler sa portée. C’est en base une arme à énergie cinétique, mais potentiellement peut transporter des bombes classiques ou nucléaire, le tout à une vitesse de l’ordre de mach 10. Aucun système déployé ou même envisagé ne peut gérer une multitude de corps de rentrée atmosphérique hypersonique visant la même cible sur des trajectoires différentes.

    Quelques secondes avant l’impact , l’impacteur a une vitesse proche de 3km/sec, ce qui réduit à quasiment rien le temps de détection/réponse depuis le sol.
    Basiquement Poutine a dit que si les USA font ce qu’ils ont annoncé dans le passé, à savoir déployer des batteries de missiles à portée intermédiaire en Allemagne, la Russie a la capacité de raser de près le pays lanceur avant même que les missiles tombent sur le sol russe.

    A part les fous qui nous dirigent, tout le monde sait que raccourcir le temps de réaction et de réflexion face à un lancement de missile est un potentiel scénario d’apocalypse nucléaire. Il faudrait 20 minutes à ces missiles pour toucher Paris ou Londres. Et nos dirigeants refusent de comprendre qu’attaquer la Russie peut nous causer quelques ennuis ? Il leur faut une démo sur leur propre sol ?



  • jjwaDal jjwaDal 22 novembre 17:06

    C’est un amalgame habilement utilisé par les sionistes et les défenseurs occidentaux de ce projet raciste, suprémaciste, colonialiste et on le voit maintenant génocidaire en Palestine.
    De nombreuses voies juives aux USA ont émis des critiques virulentes sur les actions récentes de l’entité sioniste et ne pouvant être taxées d’antisémitisme, sont requalifiées sous les vocables de « discours incitant à la haine » ou « maladie mentale ». Quand on a la réponse, peu importe la question il est vrai et l’examen des faits n’a jamais préoccupé le mouvement sioniste et ses défenseurs qui se moquent ouvertement du bilan des pertes respectives (on parle de cent morts innocentes d’un côté pour une victime de l’autre).
    Beaucoup de juifs justement récusent que le projet sioniste représente les aspirations de la communauté juive qui pour l’essentiel vit en paix et sans faire parler d’elle, un peu partout dans le monde.
    L’essentiel du monde n’ayant pas le cerveau lessivé à grande eau par les médias occidentaux voient la différence bien mieux que nous ne pouvons le faire.
    Il n’y a aucun problème juif, mais bien un problème sioniste, en un lieu précis.

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