Ceux qui se « positionnent » contre la
déchéance de la nationalité étendue aux binationaux le font en
prenant pour prétexte l’erreur historique de la votation des pleins
pouvoirs à Pétain en 1940 après une révision constitutionnelle.
Alors nouvelle erreur historique ou pur
clientèlisme de nos politiques ?
Il apparaît, en effet, que Pétain ne
s’est jamais battu contre l’ennemi mais qu’il a, en plus, fraternisé
et collaboré avec les assassins de ses compatriotes.
Lorsqu’on nous déclare une guerre, il
ne s’agit pas de savoir si l’on veut ou non la faire : il faut
la faire et soutenir, surtout, nos troupes engagées.
Lorsque j’ai écrit il y a quelques
posts que la classe politique est liguée dans le crime c’est parce
qu’elle sait parfaitement comment fonctionne le Renseignement
puisqu’ils en sont les premiers concernés quasiment et qu’elle
n’ignore pas que les attentats sur notre sol ont vraissemblablement
été pilotés... par qui.. qui a laissé passer ces terroristes ???
Je parle donc de pur clientèlisme de
cette classe politique professionnalisée, positionnée contre cette
déchéance de la nationalité étendue aux binationaux et à l’état
d’urgnece inscrits dans notre Constitution sur la base donc de ces
informations.
C’est très grave car il s’agit bien
d’une trahison des victimes et de tous ceux qui veulent rester debout
en menant cette guerre qui nous est faite par un ennemi né sur notre
sol.
Comme la majorité des français, je
souhaite que cette déchéance de nationalité puisse ramener l’ordre
public en en évacuant du troupeau les brebis galeurses qui ne sont
plus des citoyens français pour cause de rupture du pacte
républicain (et c’est un euphémisme).
Je souhaite comme la majorité des
français que nous puissions reprendre la main sur notre souveraineté
nationale et affirmer que nous sommes seuls maîtres à bord du
bateau France car brandir continuellement le bouclier islamophe,
xénophobe, raciste est une lâcheté, un désengagement fait à
l’Intérêt de l’Etat.
Se positionner contre la déchéance de
la nationalité française de ces barbares revient à balancer son
pied dans le dos de nos très jeunes engagés en leur disant, ni plus
ni moins : « va crever, qu’on rigole. »