@Rétif
Monsieur, en fait ma réponse s’adressait au
commentaire précédent (j’ai fait une erreur de post), mais pour vous répondre, je
ne remets nullement en cause votre développement, qui concorde en tout point de
vue avec mes conclusions actuelles et avec les rapports sérieux sur le sujet
que j’ai pu étudier. Je pense qu’au nom de la science, il est intéressant de savoir
si nos paradigmes doivent inclure des paramètres jusqu’alors écartés
systématiquement, mais je pense qu’en cas de test positif il serait inutile et
perturbateur d’officialiser les résultats. Pour ma part, que dieu soit ou qu’il ne soit
pas ne me dérange pas, mais je crois comprendre que cela n’est pas le cas de
toutes les cultures (croyantes ou non-croyantes) ; et les différentes civilisations
nous ont démontré que c’était bien les mêmes problèmes sociologiques à gérer avec
craintes de dieu(x), adoration de dieu(x) ou pas.
Par
ailleurs, vous faites bien de faire ’allusion’ à la période iconoclaste byzantine
de 723 à 787, qui prit fin avec l’horos promulgué au concile œcuménique
de Nicée II en 787, lequel précise les conditions de fabrication et de
vénération de l’iconographie. Indiquant que la vénération des images doit être
une forme de lecture picturale se reportant aux saintes écritures et à la vie
des saints, permettant au plus grand nombre de comprendre le message biblique sans
pour autant tomber dans l’idolâtrie (de mémoire perso).
Toutefois,
et sans jouer sur les écritures, cette bulle ne servirait pas la cause d’image
non faite de main d’homme. Et là, je pense, que c’est un volet qui pourrait
déranger même les rituels de l’Eglise, le nombre de visites qui y sont
comptabilisées à chaque exposition parlent d’elles-mêmes (sans même savoir s’il
s’agit du Christ).
Je
suis également convaincu, qu’il n’y aura jamais d’intronisation du suaire en
tant que relique authentique et encore moins scientifiquement, car la preuve scientifique n’accepte
pas de corrélation sans pouvoir reproduire ou vérifier le phénomène pour le
valider. Ce qui peut également donner à penser, que ces développements intellectuels étaient préalablement connus à l’étude commandée par le Vatican.
Cdlt