@Fifi Brind_acier
« Le problème de Chouard, c’est qu’il est contre les Partis politiques, il ne veut donc pas faire alliance avec l’ UPR. »
Chouard ne dirige pas une formation politique. Donc il ne peut pas faire alliance avec l’UPR. Tout au plus apporter son soutien, ce qu’il pourrait faire avant l’élection de 2017. Je pense qu’il le fera.
Parlons donc des alliances avec l’UPR.
Dans la seconde partie de mon commentaire du 6 janvier à 19H49 (qui vous était destiné)que je vous invite à relire et que je résume ici :
L’UPR a-t-elle réellement la volonté de faire alliance avec d’autres partis ? Je ne sais pas. En tous cas, le PEP (e-x M’PEP), le PRCF, le POI, sont à ma connaissance les seuls à proposer la triple sortie.
J’espère qu’au sein de l’UPR on réfléchit au fait qu’aller seul à la présidentielle de 2017, c’est suicidaire (à commencer par la quête des parrainages), et que la perspective de faire 1 à 2% des voix (allusion au communiqué de presse du 11 décembre dernier) — une perspective que je qualifie de raisonnable compte tenu de l’ostracisme des médias, lequel va continuer, évidemment — est non seulement démobilisatrice pour les militants de ce parti, mais représente une singulière perte de temps pour le pays.
J’ajoutais :
« (...) je pense vraiment qu’il faudra que ce parti mette un peu d’eau dans son vin, notamment sur ce que vous appelez les priorités.
Et ne me répondez pas qu’il y a une charte à l’UPR, je le sais et l’ai lue.
Lorsqu’on est un fin politique et qu’on aspire aux plus hautes fonctions de la République on se doit de prouver qu’on sait être à la hauteur de l’événement ou de la situation. C’est ce qu’on appelle être un homme d’État.
François Asselineau est-il un homme de cette trempe ? C’est toute la question que je pose, et avoue bien humblement ne pas connaître la réponse. »
Cordialement.
Thierry Saladin