@Fabien Sabinet
il n’y a pas d’Ether.
C’est quand même marrant comment le mode de pensée mécaniste a mené à une incongruité incroyable vis à vis de l’espèce consciente qu’est l’humanité.
Je vais poser ici une question qui va paraître absurde :
Quelle est la vitesse de la pensée ? L’a t’on mesurée, peux t’on la mesurer ?
Cela apparaît totalement incongru dans le monde matérialiste dans lequel on vit.
Pour autant c’est quand même un phénomène patent, je dirai même qu’on ne saurait même pas qu’on existe si il n’y avait pas ce phénomène unique.
Dans la même veine mesurer la vitesse de la pensée nous obligerait à basculer directement dans le paranormal selon le dogmatique ambiant d_s lors qu’on prétendrait qu’elle puisse se trasmettre.
ET ceci pour la raison que comme elle n’est pas matérielle elle n’a pas existence pratique conciliable avec la physique, elle ne pourrait donc se déplacer.
Or si maintenant si on se reporte aux principes qui président à la physique moderne, on parle bien de physique de l’information, d’une variable qui accompagnerait toute particule existante dans l’univers.
Pourquoi cette information ne serait t’elle pas l’expression de la pensée, de ce qui sous tend la trajectoire et l’évolution de toute particule avec en point d’orgue final un récepteur/enregistreur/ ordonnateur qu’est la conscience ani0male et humaine ?
On aboutirait au postulat suivant
La gravitation est le phénomène qui ordonne et coordonne toutes les particules dans l’univers à partir de leur caractéristique non pas de localisation géo astronomique matérielle, mais bien en fonction de l’élément d’intelligence interreliée entre toutes à partir de chaque conscience individuelle et au delà vis à vis de la conscience universelle.
De facto on élimine alors toute variable utile de distance (l’ether est dans la pensée pas dans le matériel)
La transmission d’information y est instantanée et c’est 100% compatible avec la physique quantique.
Et on obtient bel et bien un ensemble cohérent et interdépendant entre tous les éléments qu’ils relèvent du domaine considéré comme vivant au sens terrien du terme ou de toute autre nature chimique ou autre.
Le cente de gravité de l’univers se trouverait bien alors là où se trouve la conscience humaine sans qu’il soit besoin d’importer d’espèces exotiques.