@Agoranymous42
de quelle forme de pensée parlez-vous ?
bien sûr qu’on peut mesurer la vitesse des unités de pensée (et même ça permet de connaître le nombre de synapses traversées. exemple : le fouissement des bébés à la naissance donne corps sans retard à la pensée de la tétée. cette immédiateté d’ailleurs reste longtemps gravée dans les cerveaux ayant subi une déféminisation - la première pensée est question de survie. En jeu : l’accès direct au rhinencéphale, sans intermédiaire synaptique)
On pourrait prendre des exemples également qui permettent d’étudier la sémantique et par là non seulement la vitesse de la pensée mais sa structure associative individualisée etc réflexion au passage sur la base de la culture que peut représenter la langue (en particulier maternelle car ci dessus : le premier objet de la pensée) ;
J’arrête car là ma pensée se déroule en tapis rouge ... j’y suis comme un poisson dans l’eau, ou devant un banquet où se trouve tout ce que j’aime et je ne sais plus où donner de la tête.
mais je sais bien que certains pensent, à raison ou à tort, que ces pensées sont véhiculée hors ou vers par des ondes électromagnétiques. Pourquoi pas ? sauf que les pensées ont un certain besoin d’avoir du sens donc un effecteur régulateur, de contrôle ...