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Commentaire de Alren

sur La fin de la relativité


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Alren Alren 8 janvier 2016 14:51

@bourrico 7

 « s’il était aussi simple de prendre la théorie en défaut, ce serait fait depuis longtemps. »


La relativité d’Einstein a pu être opposée à la physique quantique sur un point délicat concernant la causalité. L’expérience a démontré que c’est la physique quantique qui donne la meilleure explication !

Donc, la relativité a bien été prise en défaut, mais elle est toujours utilisée dans son domaine astronomique où elle donne des résultats corroborés par l’expérience ... sauf dans le cas du point singulier au centre du « trou noir » où la matière effondrée de millions de masses solaires occuperait

un volume inférieur à celui d’une particule.

La relativité n’intègre pas la distance de Planck, ni l’électromagnétisme, ni la force forte, ni la force faible : elle est incomplète. Mais la théorie quantique l’est aussi puisqu’elle n’a pas d’explication convaincante de la gravitation qui devra intégrer le déplacement du périhélie de la planète Mercure, située près de l’énorme masse solaire.


La relativité restreinte a été développé par le physicien hollandais Lorentz pour expliquer le résultat de l’expérience de Michelson et Morley, laquelle avait mis en évidence que malgré le mouvement de la Terre, la lumière qui venait à sa rencontre la touchait à la même vitesse que celle qui la rattrapait.

Cela heurtait déjà le « bon sens » mais le résultat de l’expérience très soignée était irréfragable.

Lorentz obtint l’aide d’Henri Poincaré, un des plus grands génies en mathématique de tous les temps et c’est sur la base solide de leurs travaux qu’Albert Einstein élabora sa théorie, sans citer ces deux hommes.

C’est parce qu’il s’est réfugié aux USA, puissante très dominante après la Seconde guerre mondiale et qu’il a demandé la nationalité américaine, qu’Einstein s’est vu quasiment diviniser ainsi que sa théorie.

Tout comme quand les Anglais dominaient au XIXe siècle, furent panthéonisés Newton et Darwin en rejetant dans l’ombre les savants des autres pays sans lesquels les deux sus-nommés n’auraient peut-être pas pu condenser en théorie les idées circulant dans leurs milieux.




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