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Commentaire de Surya

sur Adieu David


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Surya Surya 11 janvier 2016 12:30

A peine réveillée ce matin, je reçois un énorme coup de massue sur la tête en entendant le radio réveil. Je suis sonnée. J’ADORAIS (et j’adorerai toujours) David Bowie, et ce depuis petite. Je l’ai vraiment découvert à l’âge de 11 ans, en 75, en le voyant à la télé. En fait je voulais voir John Lennon, mais j’ai surtout vu David Bowie. Je suis tombée de mon siège, au sens propre du terme. Depuis, j’ai acheté tous ses disques, les uns après les autres, au fur et à mesure qu’ils sortaient, et les précédents, que j’avais « ratés ». 

Une des choses que j’aimais chez cet artiste exceptionnel, ce véritable génie, c’est qu’on ne savait jamais à quoi s’attendre en achetant son nouveau disque. Il se renouvellait sans cesse. 
J’ai écrit deux articles sur Bowie ici sur Agoravox. En mars 2013 et précédemment en octobre 2010. 
Je ne l’ai vu également qu’une seule fois sur scène, en 1983 aussi, à l’hippodrome d’Auteuil à Paris. J’étais au debut du concert juste devant la scène (j’ai été obligée m’extirper de là tant bien que mal et me rendre dans les tribunes car les gens poussaient tellement qu’on était compressés et on ne pouvait même pas respirer.) et lorsqu’il est monté sur scène, une chose m’a particulièrement frappée, son regard. Son regard, en fait tout son visage, respirait l’intelligence, la vivacité d’esprit. 
J’allais acheter son nouveau disque. J’ai entendu le titre phare sur son site internet, et je crois déjà qu’il nous a offert là, avec Blackstar, son ultime chef d’oeuvre. 

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