@Fergus
Merci d’avoir répondu sur ces questions.
Je ne suis pas un spécialiste comme Ar zen, mais il me semble néanmoins que :
1/ Unanimité ou vote au 2/3 (18 pays minimum) c’est quasiment la même
chose, le vote de la « population européenne » en plus, ce qui
engendrera encore plus de dissension interne au sein de chaque état membre et
enlisera d’autant un accord....
Un vote du « peuple européen » est un
peu utopique dans le sens que chaque nation à des modes de vie différents , des
constitutions différentes et seront donc plus réticent sur des réformes
unifiées....à moins de détruire les nations et leurs cultures pour les
uniformiser.
2/ Le minimum en démocratie... (On reste dans l’hypothèse d’une UE sociale,
bien sûr)
3/ Découle de la partie 2 de votre commentaire et redonne un semblant de démocratie.
Néanmoins c’est toujours Bruxelles qui décide pour les nations.
Les courbettes de nos représentants nationaux ne s’effaceront pas pour autant.
Bien, mais ces réformes à elles seules ne seront pas suffisantes, et comment ferez-vous
pour inverser les tendances politiques des 2/3 des états membres ? Quand est-il
actuellement des alliances au sein de l’UE pour promouvoir vos propositions ?...et
pourquoi(je me répète) lors de « l’affaire Syriza » Le Front de gauche et autres Podemos n’ont pas
fait bloc unis contre les mesures de restrictions imposées par l’UE à la Grèce, pourquoi n’ont-ils
pas appelés les autres nations au soulèvement, à la grève générale, en expliquant
précisément les défauts de cette UE…Et bien non, ils n’ont rien fait ou n’ont
pas eu le soutien des « peuples européens » , ni des états membres de
l’UE qui ne se sont pas sentis concernés…résultat, les forces pour inverser la
vapeur ne sont pas suffisantes pour réformer l’UE.
Sinon, entre autres, en ce qui concerne l’euro et l’harmonisation des frais
d’exploitation des entreprises qui est différent dans chaque pays, on fait
comment à court/moyen terme ?