@Fergus
Je ne déforme rien du tout Fergus. Vous pensez détenir « la vérité » dans cette affaire. Or, si vous aviez un peu de modestie, vous seriez amené à constater que vous écrivez sans connaître le dossier d’Assises. Vous ne connaissez même pas le fonctionnement de la justice. Ce que je lis sous votre plume est d’une parfaite naïveté, au plan du professionnalisme de la justice, j’entends. Puisque vous ne savez pas, il vous est impossible de mettre en perspective les faits avec objectivité. Vous pouvez bien pousser des cris d’orfraie que cela ne changera rien. Vous vous êtes laissé embarquer par votre opinion. Les remarques que je fais sont factuelles. Vous, vous êtes dans le jugement. Ce n’est pas votre métier.
Si vous avez été juré d’Assises vous devez bien savoir que c’est une chose difficile pour un non professionnel que d’appréhender la totalité d’une affaire sous tout ses aspects. Dans le cas de Mme Sauvage se sont 15 personnes civiles qui se sont prononcées, en leur âme et conscience ainsi que 6 juges professionnels. Mais en fait, c’est Fergus qui savait quelle était la bonne décision. Remettez donc un peu d’ordre dans vos idées et revenez sur terre.
Ce qui est certain, c’est que Mme Sauvage est coupable d’homicide volontaire. Que savez vous de la peronnalité de cette femme et de son parcours ? Oui, c’est vrai que l’on peut être offusqué par une décision de justice. In Bruges a bien décrit cette situation. Vous, vous êtes à fleur de peau parce que cette femme a subi les outrages de son salopard de mari durant bien trop d’années. Et bien, j’ose l’écrire : le courage c’est de prendre les bonnes décisions au bon moment. Je ne suis pas certain que Mme Sauvage ait eu ce courage si je dois considérer les méfaits répétés de son « mari ».