@Fergus
Je ne cherche pas à l’enfoncer Fergus. J’analyse des faits que vous avez négligés et dont la cour d’Assises a nécessairement tenu compte. Si vous pensez qu’habiter à la campagne nuit aux dépôts de plainte vous vous trompez. J’essaie simplement de vous faire comprendre que la responsabilité de cette femme est partiellement engagée par sa totale inertie à déclencher des actions de justice face au danger permanent que constituait son mari dans la maisonnée. Vous êtes d’ailleurs d’accord avec ça. Le mari était un parfait tyran domestique doublé d’un violeur.
Vous ne répondez donc pas à la question de savoir pourquoi Mme Sauvage n’a pas saisi la justice pour les viols sur ses filles et lors des violences répétées qu’elle connaissait. J’essaie, tant bien que mal, de vous démontrer que la cour d’Assises a eu ce genre d’interrogation. Comment s’est défendue Mme Sauvage sur ce sujet ? Qu’en savez vous ? Il s’est passé des choses d’une extrême gravité sous son toit, ses enfants étaient en danger, presque permanent, comment s’est-elle justifiée ? Fallait-il aller jusqu’à l’irréversible ?
Je vous pose les questions pour lesquelles le jury a été interrogé. Quelles sont vos réponses ? Vous avez écrit un billet orienté sur cette affaire, je suis en droit, en ma qualité de lecteur, de vous demander de lever ce doute. Sinon, vous n’êtes pas crédible. Que savez vous de la passivité de Mme Sauvage à saisir la justice ?
Comprenez vous que sa maniere de ne pas gérer cette affaire et de ne pas dénoncer des faits ignobles ont participé à la conclusion horrible que nous connaissons ?
Pensez vous que ces circonstances de non dénonciation de crimes (viols) et de délits (violences volontaires) n’ont pas pesé dans la décision finale ? Oui ou non ? Soyez au moins objectif. ! Remarquez que je m’en tiens aux faits.