« substituer aux valeurs démocratiques et aux acquis sociaux la seule loi du marché et la barbarie de la spéculation »

40 ans de marasme éducatif contenu dans cette seule phrase.

L’auteur écrit mais ne sait pas lire la langue française. Il reste dans le jargon « progressiste »,tout en pléonasmes et oxymores.

La gauche française n’est pas démocratique dans l’ensemble. Elle est socialiste. Allez dire à Mélenchon Laurtent, Autain Dufflot ou même à Hollande qu’ils sont « sociaux démocrates »

Allez voir n’importe quelle définition du socialisme. Il n’est pas spontanément démocrate. Au dessus de la volonté des peuples, il met son idéal, en apparence égalitariste.

En apparence, car quant à ce qui est de compter....

Depuis 40 ans les castes de gauche vivent des deniers publics. « Leurs acquis sociaux » ont été assez largement préservés à l’exception d’un seul. La croissance régulière de leurs revenus, de leur progression de carrière de leurs moyens et de leur nombre.

Il n’y a pas de lois du marché qui vaillent quand on a pris sur la période de l’ordre de 15 points de PIB de dépense publique en plus, Plus de 2 millions de gens salariés par ces prélèvement obligatoires, le nombre le plus important de création de post de cadres, le tout pour une dégradation continue de la qualité des services publiques et la hausse des nouvelles pauvretés. 

Il n’est sans doute pas inutile de rappeler qu’elles ont commencé à apparaitre puis à se développer sous Mitterrand. De la même façon, les inégalités ont diminué tant que les droites étaient au pouvoir pour commencer à stagner avec l’arrivée de l’union de la gauche. Sous les droites, l’argent du social allait aux pauvres, aux familles. Sous les gauches, il allait à ceux qui disent s’occuper des pauvres, etc..

Songez que la hausse du RSA sur 5 ans par tête est inférieure au cout par tête de la journée de carence que les statutaires de gauche se sont accordé.

Que la RATP n’a pas cessé d’embaucher des cadres cher payé pour s’occuper de com. pendant que les niveau de formation des chauffeur et leur nombre ne suffisait plus à faire face aux nécessités du service quotidien,le tout avec un des transport les plus subventionné de France.

Qu’en trente ans, la dépense par élève à doublé en argent constant, avec, notamment, des classes passées de 4à à 23 pour un arrêt de l’ascenseur social, sauf pour les enfants de profs de gauche ( pléonasme).

Jamais une « caste », un « peuple », n’avaient à ce point exploité le prolétariat. Le plus infect étant qu’ils le fassent soit disant au nom de ces mêmes pauvres qu’ils exploitent plus encore que les autres, en trustant l’argent des budgets sociaux pour de soit disant « service publics ».

Cependant, malgr leur efforts pour casser l’école de la république, dont peuvent témoigner la plupart des parents ; malgré tout, le niveau monte. Celui du peuple, celui des pauvres ; 80% d’une classe d’âge au bac. Le discours ici tenu est un discours de vieux. Exactement le même que celui que tenaient les gauches avant guerre. Presque un siècle de retard....

Mais le’ « peuple » , les jeunes ;, les travailleurs, les forces de progrès quoi, comme il dise, a malgré tout progressé, a accès à l’info par le net.

Il vote à droite.

http://www.regards.fr/web/article/ouvriers-employes-jeunes-la

Et encore, elle ne compte pas ceux qui votent LR ou Modem.

La gauche sans le peuple est un mouvement de classe minoritaire de bureaucrates défendant des intérêts égoïstes mais avec les moyens des administrations partisanes.

Même en URSS cela n’a pas duré éternellement.