Hélas trois vecteurs de politique monétarismes ayant tous le même effet Placébo.
3 vecteurs Keynésiens.
Le pyromane utilise des allumettes pour éteindre l’incendie
1-Dévaluation compétitive. juste le temps de l’ajustement monétaire un placébo ponctuel de relance.
Sauf qu’après l’effet placebo la population de pays est devenue plus pauvre par rapport à ses partenaires et les entreprises achètent plus cher les matières premières ce qu’elle payaient moins cher avant et donc les prix de production instables créent encore plus de chômage à long terme.
Les grandes économies exportatrices sont aussi les pays à monnaie forte. Simplement parce que dans ces économies le patrimoine est préservé et les bénéfices ne compensent pas les dévaluations, mais l’investissement.
2-Baisse des taux d’intérêt : le seul bénéficiaire est l’état, qui emprunte sans compter sur un retour sur investissement. Passé l’effet placebo la baisse entraîne un découragement de l’investissement basé sur le capital épargné, plus générateur de projets efficents créateurs d’emplois que de projets basés sur l’emprunt et la contrainte de remboursement rapide et de faillite rapide. L’emploi est détruit à long terme par les dettes encouragées et à rembourser.
3-Politique budgétaire : le marché libre est assez malin pour trouver lui même les secteurs d’avenir et d’investissement. Pas l’état qui lui agit pour des raisons médiatique ou de groupes de pression. C’est toujours une catastrophe. Royal a investi l’argent du contribuable dans une boite de voiture électrique. Simplement parce que médiatiquement ça fait écolo, ca répond aux groupes de pression écolos mais in finé n’a creusé que la dette du contribuable.
La meilleure politique monétaire, c’est encore de ne jamais en avoir.
Mais aux écoles d’économie en France, les Keynésiens ne peuvent admettre que la richesse se crée, elle ne se manipule pas.
L’UBERISATION de la monnaie devrait en finir avec ces analyses. Demain chacun pourra produire sa monnaie, et chacun choisira naturellement celle qui sera la moins aux mains des manipulateurs Keynésiens.