C’est dramatique que la pluparts des commentaires d’attaquent à la
personne de l’auteur et non au contenu de l’article. Comment un algérien fut-il
professeur universitaire ose-il écrire sur une affaire franco-française alors même
que l’affaire touche la communauté d’origine maghrébine dans ce pays ? Pendant ce temps ce qu’on appelle les spécialistes français du Maghreb eux se
répondent sur les journaux et les médias de l’hexagone pour décortiquer ce qui
se passe au Maghreb et s’érigent sans
vergogne en donneurs de leçons. Nous ( maghrébins) on leur a jamais dit de s’occuper
de leurs affaires.
Non
messieurs, l’auteur a le droit comme vos fameux spécialistes du Maghreb d’écrire
ce qu’il pense dans un site francophone et chacun a le droit discuter ses
articles et non pas sa personne. J’en viens à ma réaction à l’article que j’ai déjà
formulé ailleurs.
Suite à son émission sur France 2
au cours de laquelle une jeune enseignante lui a demandé de se taire dans ses
stigmatisations de la communauté musulmane ; lui qui est contre le multiculturalisme
est allé pleurnicher dans sa communauté ; la vraie RCJ ( Radio de la communauté
juive) et repris par les médias israéliens.
Il a déclaré entre autres que «
L’antisémitisme, à la télévision en première partie de soirée, voilà le monde
dans lequel nous sommes condamnés à évoluer ».« Nous sommes sortis de la
période post-Hitlérienne, de notre histoire, l’antisémitisme a, à nouveau,
pignon sur rue, il est le paquet cadeau du multiculturalisme ». Nous c’est
qui ? c’est la communauté française, non c’est la communauté juive alliée de la
droite israélienne.
Voilà le personnage que les académiciens ont fait entrer à
l’Académie française.Pour lui la défense de l’identité française est un
prétexte ; sa vraie identité c’est bien l’identité israélienne. Ceux qui
saluent aujourd’hui son entrée à l’Académie française en sont-ils conscients ?