« Ce qui est utilisé comme argument, c’est la contestation de l’objet d’intérêt général. »
Si j’ignore lequel des trois critères a été enfreint pour contester l’objet d’intérêt général, il semble - du point de vue de l’administration fiscale développé dans votre billet - qu’il relève d’« errements » gestionnaires.
Pour ce que j’en comprends, chaque association reste donc libre de sa propre conception de l’intérêt général et - tant qu’elle en respecte les prescrits et ne confond pas sa gestion avec le contenu de la poche de ses gestionnaires - prétendre au bénéfice de l’exemption fiscale !
Si je n’éprouve aucune espèce de sympathie pour CIVITAS ou pour toute autre forme d’intégrisme - laïcard compris -, le souci paraît donc en l’occurrence moins relever de la rigueur philosophique que comptable.
Tous les coups sont certes permis pour défendre la « bonne cause », mais arguer donc des malversations des organisateurs pour dénoncer les options philosophiques des membres ne permet qu’entretenir une confusion qui ne fait guère honneur aux valeurs que vous-même prétendez si ardemment défendre en d’autres circonstances.
En vous présentant, comme à l’accoutumée, l’expression de mes cordiales salutations !