@Fergus,
Bien d’accord pour la prononciation, Fergus, c’est pour cela qu’il y a le globish.
C’est à dire une langue qui s’adapte à tous les usages pour tous.
Le français est une langue difficile qui ne s’adapte pas pour devenir un interface.
Ma langue maternelle est le français, j’aime ma langue, mais je me mets à la place de celui qui doit l’apprendre.
Combien d’années faut-il pour assimiler toutes les exceptions de la langue française qui annulent les règles ? Pourquoi pour une raison de masochisme ?
Le son « o » qui devient pafois « eau », « au », « ho ».
Je ne cite que cet exemple mais il y en a des dizaines.
Dans la semaine, je regardais le film « Minuit à Paris » de Woody Allen en version originale sans lires les sous-titrées. Certains acteurs, il n’y avait aucun problème pour les comprendre et certains mangeaient leurs mots.
Dans un article, je posais la question faut-il «
défendre une langue ou un dialecte » lors du deuxième forum mondial de la langue française à Liège. Le commissaire général citait les points important pour faire rayonner une langue :
- la créativité
- le développement économique, technologique et culturel
- les contacts et les connivences
- le dynamisme pour contrer le monde anglophone
- faciliter ses règles et le moins d’exceptions possibles.
- clarté et la bonne formulation
- volonté politique
La prononciation même du français est différente au Canada, en Suisse, en Belgique...
Je suis sûr qu’un Breton a ses expressions propres qui ne seront pas comprises par un Parisien...