@chantecler :
Citer « sciences et avenir », c’est assez lamentable.
Si c’est ce journal qui vous sert de référence, on comprend où se situe le niveau de votre esprit critique. Et vous vous permettez de vous moquer de façon bien triviale de ceux qui doutent, sans apporter aucun argument solide sur le plan scientifique.
Expliquez-moi comment se fait-il que ces tours à structures d’acier, extrêmement solides, faites pour résister aux pires séismes et aux incendies (l’acier diffuse très bien la chaleur. Il faut voir le schéma de construction de ces tours et l’épaisseur de l’acier des poutres maîtresses du noyau central, protégées en plus par une isolation thermique conséquente).
Les feux de bureau ou d’hydrocarbures n’ont jamais fait écrouler des tours de ce type, avec des incendies bien plus conséquents et bien plus long (24 heures au moins) que ceux qui ont eu lieu ce jours là, le 11 septembre 2001.
Ce n’est jamais arrivé dans l’histoire et ce jour là, il y en a eu trois.
Et leur écroulement ne ressemble en rien à celui qui résulte d’un incendie : dans ces trois cas, il est brutal (pour les deux premiers il commence par une forte explosion) et il va jusqu’en bas. Pour les deux tours jumelles il dure environ 10 secondes et il est de six pour le WTC7. Des éléments de la structure externe sont projetés à plus de 150 mètres, des restes humains sont trouvés sur des toits de tours du voisinage. Où est passé le noyau central des WTC 1 et 2 ? Et le béton du sol des étages, on devrait le retrouver au pieds des tours s’il s’agissait d’un écroulement simple du fait de la gravité, il est où ?
Cela ne vous pose pas de questions ?
Dans la poudre déposée par le nuage pyroclastique autour de ces tours, répandues sur tout Manhattan, on trouve des microbilles d’acier et de la termite. Non c’est rien, c’est normal... Après avoir dit qu’il ne servait à rien d’analyser cette poudre parce que l’on savait déjà qui était le coupable : Ben Laden.... !
Le temps n’effacera rien de tout cela. Les gens qui ont fait ce crime ont mis notre humanité en danger. Les médias (tous) qui ont couvert ce mensonge sont pleinement responsables de la situation dans laquelle nous nous trouvons 15 ans après. Sciences et avenir fait partie de ces médias, il ne ressemble en rien à un journal dit de vulgarisation scientifique.
Notez que le groupe Peridel, à qui appartenait « sciences et avenir » (groupe Obs & C°) à cédé en janvier 2014 les deux tiers du capital de l’hebdomadaire l’Obs (anciennement Le nouvel observateur) aux actionnaires du groupe Le Monde : Pierre Bergé, Xavier Niel et Matthieu Pigasse.
Vous en voulez encore ?