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Commentaire de macarel

sur Concurrence Identitaire


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macarel macarel 8 février 2016 15:49

A l’auteur,

Je vous mets 5/5 sur le fond de votre analyse.
Je mets cependant, si vous le permettez, un gros bémol sur la forme :
Votre texte est dur à lire, une rhétorique alourdie de trop de références et de vocabulaire rare qui va en rebuter plus d’un. De plus, beaucoup de fautes de grammaire qui n’arrangent rien. Je me suis surpris, lors d’un paragraphe, à rechercher les fautes pour les corriger mentalement, avant de le relire pour en extraire le sens. pas facile !! Vous gagneriez à vous relire avant publication.
Il me semble que cette complexité est très dommageable car elle risque d’en limiter la lecture à une frange très minime de la population, qui de plus risque de ne pas être la partie la plus à même d’être aux avant-postes pour apporter des solutions sur le terrain. En plus clair, si vous parlez comme ça en Seine St Denis, j’ai bien peur que vous ne preniez rapidement un coup de boule.. (c’est une boutade bien sur ! smiley.
En tout cas, comme je vous le disais, je vous mets 5/5 car votre analyse des grands courant de population me semble particulièrement juste. Ainsi que votre message de fin, qui tente de mettre en avant les solutions pour la compréhension et l’acceptation de la différence, la paix civile et une vraie « réunification nationale ».
Bien entendu, celle ci diffère en tout point, malheureusement, de celle chantée par nos élites au son des canons en Syrie et ailleurs, de leur soutien inconditionnel à la politique d’Israël et aux régimes intégristes des pétromonarchies. Ou plus simplement à la forme et/ou à la teneur de leurs discours ou de ceux de leur médias dont on se demande de plus en plus fréquemment si l’effet inverse qu’ils produisent sur cette réunification serait dû à des maladresses de gens trop éloignés de la base, ou plutôt à une volonté réelle de garder le peuple divisé.
Auquel cas, les expériences citoyennes qui commenceraient à donner des signes de résultat seraient rapidement dispersées. Un peu comme le cas de la police de proximité disparue lors du règne précédent, et jamais réintroduite.
Les efforts pour arriver à l’état d’urgence ont été lourds et difficiles, il est maintenant bien en place ! c’est pas le moment de mollir.....
Cordialement.

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