@Taverne
je ne vais pas entrer dans les détails mais juste essayer de dire quelque chose d’intelligent.
A la lecture de votre commentaire, je songe que finalement la science dure qui s’associerait le mieux aux propos (pardon du terme, hypothèse de ravail) de Bernard Dugué, serait la physiologie, la neurophysiologie, les neurosciences, car, en effet,le QI n’a de sens qu’associé à l’émotion juste (le test de Rorchard est mieux adapté pour répondre à ce questionnement) :
pour l’être humain et tout son endo-attirail d’appareils de mesures sophistiqué (5 sens et ceux qu’on oublie, 6ème et compagnie), sa conscience personnelle et partagée, l’espace temps, images et parcours mentaux, affectivité et mémoire (et/ou mémorisation), ont une toute autre mesure du temps et de l’espace, a fortiori de l’espace temps avec ses heures qui s’écoulent comme des secondes ou comme des éternités, ses madeleines (de Proust), ses atmosphères plombées, ses insoutenables légèretés (de l’être) et cette « coquille de noix » qui nous enferme dans notre condition (humaine) dont l’endo-attirail sensoriel se serait plutôt émoussé au profit (détriment ?) de la connaissance, de la conscience d’être.
ne parlons pas des extensions robotiques ... pertes
Pas de QI, pas d’équation, on parle entre personnes de bonne compagnie.
Le vrai problème de la conscience est que sans elle le monde n’existe pas (pour l’homme, que pour l’homme ?). L’homme pourrait bien n’avoir qu’une seule mission sur terre : nommer les choses.
Un trou reste désespérément un trou. Mais quand même je me demande pourquoi il est aussi lourd.