Lorsqu’une politique économique se construit sur un socle de détritus des produits pourris de la financiarisation de la société, il ne peut y résulter que d’irrémédiables souillures envers les peuples. C’est à ce prix que la domination des peuples et des nations se perpétue. But ultime : neutraliser les populations par l’immonde chantage à l’emploi. Cette réforme scélérate verra-t-elle le jour, vraiment, sans que nous ne nous insurgions plus catégoriquement que de signer des pétitions contre ladite loi ?
Or, ces femmes et ces hommes ni sages, ni conscients prétendent nous gouverner ? Leur manque de principes et de morale que leurs besoins primaires de jouissance matérielle et sans limites, les porte au pinacle du cynisme. Ces femmes et ces hommes au sourire réjoui qui considèrent le reste de l’humanité et des peuples comme de la valetaille, ces corrompus dans l’âme, et qui ressentent un goût immodéré de luxe et de lucre, dans les ors de la république, ne méritent que mépris et opprobre.
Ils préparent devant nous, un avenir irrespirable. Les générations futures nous maudiront pour les avoir laissé créer une société irrémédiablement orwellienne. Nous avons là, avec cette loi particulièrement, un modèle de grande violence, celle des puissants faite aux faibles, la guerre des lâches.
Et de grâce : NE VOUS APPELEZ PLUS SOCIALISTES !