@ eric
Un certain Moïse a apporté diverses innovations mortifères pour toute l’humanité parce que cette lèpre s’est répandue de diverses façons (via le psychopathe Paul ou l’imitateur Mahomet, par exemple). C’est ce qu’on appelle un fait historique. Ta moraline et ta philosophie du soupçon, qui n’est rien d’autre qu’une croyance et du rampage de carpette, de la circoncision de cervelle, tu te la gardes.
Ex : l’idée de dieu que tu emmènes comme un bagage, qui te suit partout (et qui causera bien des ravages psychologiques chez l’individu, via ’Dieu est partout, Dieu te regarde’, etc). Ca n’existait pas avant Moïse ; la notion de dieu désignait tout autre chose à l’époque que ce qu’on l’entend par là de nos jours ; la notion actuelle de dieu est le signe d’une humanité abrutie, brisée, déracinée, qui ne cesse de placer sa propre déliquescence morale chez les autres quand elle contemple le passé.
A cette époque lointaine, dieu représente une identité ; on change de dieu comme de chemise, on s’installe quelque part, on embrasse le culte en vigueur car dieu ne s’envisage pas, il symbolise un faisceau de coutumes et d’actions (le terme idole signifie ’effigie’) ; on est du pays de Bââl ou d’ailleurs. Les exemples fourmillent dans la Torah elle-même : à la volée ’vos pères ont servi d’autres dieux au-delà du fleuve’ in (livre de josué ; chaque terme est important ; servir = obéir à un ordre, respecter des préceptes, et en particulier les incestes). Quand tu serines des choses comme ’un seul dieu tu adoreras’, ’il n’y en a pas d’autres que lui’, c’est que la tendance est justement à l’inverse. La scène du veau d’or te meugle même à l’oreille que ’dieu, ça se balance’, il n’y a pas cette notion de sacré exclusif et terrorisé qui n’existera qu’à force de siècles de tortures, de brimades et d’inquisition qui subsistera même chez la lointaine descendance telle que toi. Un dernier exemple pour la route ? Lorsque Abraham craint d’entrer dans une ville, ce n’est pas parce qu’il croit dans un autre dieu - croire relève de l’ineptie chez ces ancêtres lointains, ce concept leur est encore étranger -, mais parce qu’il ne respecte pas certain inceste ; ce qu"on va lui reprocher , ce n’est pas de croire en Iahvé mais de baiser sa demi-soeur. Du concret, quoi, pas de la religiosité. C’est Moïse qui va rendre possible la guerre de religion et l’extermination induite en faisant en sorte que la croyance fasse partie de la nature de l’individu et ne soit plus une simple action.
Concernant le crif : quand tu vas sur la place publique, que tu mens en l’espèce (sur la circoncision) comme un arracheur de dents dans le but d’influencer, tu te soumets au regard d’autrui. Donc, plutôt que faire la pleureuse, deviens vertueux ou reste chez toi. Ce qu’on appelle la démocratie et la liberté d’expression.
Donc, non, la circoncision n’est pas anodine ; non, la cérémonie ne se déroule pas ainsi ; non, elle ne protège pas du cancer, du papillomavirus, du sida. Et elle ne guérit pas davantage des écrouelles.
Et non, Israël n’est pas la seule démocratie du Moyen-Orient.
http://www.cclj.be/actu/israel/justice-impose-elinor-circoncire-fils