@Joseph
« Je
dirais plutôt que ce sont les problématiques liés à l’intégration et
l’immigration qui posent problème et qui par effet de bord nous fait croire que
c’est l’autre qui pose problème. »
Pour moi, le problème, c’est l’Islam. On peut nous expliquer qu’il
y en a au moins soixante, je retiens que tous reposent sur le Coran et la
Charia.et que l’intrusion du Coran et de la Charia dans la société, sont aussi
incompatibles avec la démocratie qu’avec la République. Et cette intrusion est
de plus en plus marquée, au fur et à mesure que nous reculons sur nos
principes, en ce qu’ils ont d’incompatibles avec l’Islam.
Dès le début, il aurait fallu ne rien lâcher sur rien, sur
l’abattage rituel, sur les prières de rue, sur les cimetières confessionnels,
sur les heures d’ouvertures séparées des piscines, sur les expressions
architecturales non conformes à nos traditions stylistiques – les Suisses l’ont
intuitivement compris en interdisant la construction de minarets – sur les
modes vestimentaires, sur la restauration collective, j’en oublie.
Maintenant, c’est trop tard. Il n’y a plus que deux
aboutissements logiques à terme, à moyen terne, je pense : la soumission
ou la séparation. C’était il y a vingt ans, la première fois que j’ai évoqué la
possibilité la cession de territoires à forte autonomie, à des communautés qui
ne partagent en rien, ou presque, le mode de vie, les valeurs traditionnelles
et les codes sociaux des autochtones.
«
Je suis pour une intégration alors que vous semblez être pour une assimilation
(que je prend comme une uniformité)… »
Je semble peut-être, mais l’intégration, je ne sais pas ce
que c’est, dans l’impossibilité où je suis de distinguer entre Intégration apparente
et intégration culturelle. On peut être, publiquement, un citoyen exemplaire
dans son rapport avec le travail et les
diverses administrations de la République, mais arranger, en toute discrétion
le mariage de sa fille avec un homme « resté au bled »…
Quant à l’assimilation, elle n’entre en ligne de compte que
pour ceux qui sont prédisposés à s’assimiler, en fonction de leur parcours
personnel. En cela, notamment qu’ils sont parvenus à se libérer, et pas qu’à
moitié, du carcan obscurantistes qui étouffent leurs coreligionnaires. Pour moi
être assimilé, c’est adopter le mode de vie de la population d’accueil, jusqu’à
ne plus se distinguer d’elle que par des détails secondaires. Ce n’est
accessible qu’à une minorité de « renégats » aux yeux des leurs, ce
qui ne facilite pas le « saut » définitif.