@Croa
Cher Croa,
Il est dommage
que vous ayez perçu « au premier degré » les propos relatifs à la futilité
des sujets Franco-Français évoqués « à titre d’exemples ». Il s’agit
simplement d’un rapport d’échelle entre deux préoccupations : j’aurai tout
aussi bien pu comparer « une jambe cassée à un cancer généralisé », ou "les
Français en 1939, tout à leurs congés payés fraichement acquis, et qui
déchantent en 1940 après l’invasion de la France"... il s’agit bien de
comparer deux situations et discerner ce qui est maitrisable de ce qui ne
l’est plus.
Certes le
qualificatif de « futile » n’est pas approprié si on ne fait que le
rattacher à « la refonte du code du travail » ou les autres sujets pris
à titre d’exemple, mais si d’aventure les
Français, comme en 40, devenaient eux-mêmes des migrants un jour, le contexte
ramènerait bien (hélas) ledit sujet au rang de futilité....
Il est d’autre
part dommage que vous vous arrêtiez de lire à la quatrième ligne sans intégrer
la suite, et par ailleurs que vous votiez 4 fois (?) sans aucune objectivité...
cette attitude est digne des syndicats les plus rétrogrades, lesquels
connaissent leur position avant même d’assister aux réunions de travail, voire
claquent la porte dès les premières minutes d’entretien... attitude négative qui
laisse présager des difficultés à venir pour le fameux code du travail auquel
vous semblez si attaché.
Concernant les
débats les plus animés, les anglos-saxons ont au moins ce point positif, il
écoutent leurs interlocuteurs avec respect, développent les arguments relatifs
au fond des affaires, discutent en « pleine connaissance du sujet » afin
de trouver un consensus.
« deepnofin »
a bien compris que tous les sujets que j’ai évoqués en préambule faisaient
appel à l’émotionnel et étaient de nature pour nos dirigeants médiocres à
activer intentionnellement des ruptures sociétales afin de demeurer maître des
enjeux futurs, en nous faisant croire qu’ils dominent la situation internationale...là
ou se situe le VRAI DANGER.
Vous me
feriez l’immense plaisir de lire l’article jusqu’au bout, et voter cette fois « objectivement » en pleine
connaissance de cause.
Bon weekend.