s’il fallait un défaut, vous thanatopractez, vous le formolisez, vous lui donnez de la chair ;
comme en suivant le fil de votre texte, votre puissance boulimique vous noyait,
premier écueil, étrange :
supposer que celui que vous désignez et cadrez comme trou noir aurait une histoire,
deuxième écueil : vouloir saisir ce néant en lui donnant chair,
mais vous voyez que ça ne tient pas,
sauf que c’est pas votre faute, c’est lui.
alors récapitulons : d’abord vous repérez vraiment la terreur au salon,
le corps de hollande, c’est là que ça se joue,
sans parler de l’éclairage, le corps pèse exactement quelques kilos,
peut-être 10, 12kg, je sais pas, on est entré dans le nain, le très enfantin,
vous direz huit ans...
écouter la voix, c’est effrayant,
et vous le touchez d’entrée,
la suite tourne à la leçon, on se fait rabrouer :
tu feras ci et ça et comme ça compris ? oui, monsieur.
il aurait pu se débiner, envoyer sa foll à l’ouvrage,
y’a ptêt intérêt à se faire rabrouer ?..
poursuivons, vous lui cherchez une histoire ? c’est un abîme réel, opérant !
preuve ? vous retombez dans sarco...
y’a rien, vraiment c’est effrayant,
sarco au moins, réussit le « comme si de rien n’était »
pourquoi flamby non ?..
déjà c’est un « remercié » attention,
il appartient à « merci pour ce moment », il a pas su en sortir, ou pu,
son tricycle y pourra rien,
tout le reste est un drame.
mais minute, revenons à ce passage, quai des vaches, c’est pas rien, ou sans effets,
ce que vous avez immédiatement saisi, et posé d’emblée,
en termes de problème désormais physique,
je doute que cela, sous peu, ne doive
se traduire,
quelle que soit l’é-normité.